Western post apo dark fantasy mad maxien boucané au White Spirit, In the lost lands réussit l’incroyable pari d’être hideux, profondément débile, avec un scénario aussi ragoûtant qu’une serviette hygiénique usagée, mais incroyablement fun. Du nanar de compet. Chapeau P.W.S. Anderson.
Comments
Trop hâte.
Chapeau quand même au concepteur de l'affiche, qui met surtout en avant le côté dispensable du "film" 😁
(c’est lui)