L'actuel directeur assure que le Kreisker « s'inscrit en rupture totale avec ce passé ».
Un passé que les personnes qui nous ont confié leur récit ne souhaitent plus étouffer. « Rendre tout ça public, c’est une forme de justice, de reconnaissance des violences », confie Thierry Oulhen.
Un passé que les personnes qui nous ont confié leur récit ne souhaitent plus étouffer. « Rendre tout ça public, c’est une forme de justice, de reconnaissance des violences », confie Thierry Oulhen.
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