Formule un brin provoc pour évoquer ceux qui ont une vraie passion pour leur taf (j’en connais, du mécanicien auto au physicien), qu’il soit très pénible physiquement, psychiquement ou un peu moins. Ou ceux qui s’en convainquent. Même si l’injonction au travail concerne tout le monde.
Évidemment, passionné ou prisonnier, travailleur pauvre ou Bernard Arnault, le rapport au travail est tout sauf rationnel. Nous ne savons pas nous croire inutiles. Et si c’est cet angle qui sert de carburant à la critique de l’IA, je ne suis ps très optimiste qt à ce qui en sortira.
Le livre "l'autre moitié du monde" de Paul Magnette est consacré aux 50% de la population qui considère faire un travail "pas/peu épanouissant" (mais il faut bien manger). Une intéressante lecture.
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