L'auteur est convaincu que les personnes qui demandent le respect du droit et de la réglementation dissimulent en réalité un agenda caché (comploplo quand tu nous tiens...).
L'auteur considère que les instances environnementales, "composées de professionnels de la biodiversité" (c'est bien de le faire remarquer), ne sont pas les mieux placées pour juger des impacts des projets sur la biodiversité. Mais alors qui ?
L'auteur croit savoir que même si les avis de l'Ae ou du CNPN ne sont que consultatifs, ils ont un poids décisif dans les décisions. Lol (coucou l'EPR2 de Penly, coucou CIGEO 👋).
L'auteur regrette que ces avis s'appuient fréquemment sur l'expertise des Plan nationaux d'action. Mais alors sur quoi ces avis doivent-ils s'appuyer ? Sur ses idées reçues ?
L'auteur est persuadé que les multiples possibilités de recours et les enquêtes publiques font peser un risque permanent sur les projets. C'est à se demander comment on a pu développer 50 GW d'éolien et PV ces dernières années...
C'est à se demander pourquoi la France est le 1er pays européen pour les investissements étrangers dédiés aux projets d'implantations et d'extensions d'activités industrielles.
Rappel : les recours n'arrêtent que les projets illégaux.
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Rappel : les recours n'arrêtent que les projets illégaux.