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Quand certains balancent que l’OSINT, " c’est un ramassis de mecs en manque de reconnaissance”.
On frôle le sexisme pur jus, ce discours efface celles qui enquêtent, dénoncent, forment.
Voici quelques-unes de ces femmes admirables.
Quand certains balancent que l’OSINT, " c’est un ramassis de mecs en manque de reconnaissance”.
On frôle le sexisme pur jus, ce discours efface celles qui enquêtent, dénoncent, forment.
Voici quelques-unes de ces femmes admirables.
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Assiya El Harchi ingénieure et analyste OSINT, l’une des pionnières féminines en France.
Experte en GEOINT,enquêtes deep/dark web et cold cases, participante et organisatrice de défis OSINT, auteure sur THE OSINTERY.
Une figure incontournable.
Manisha Ganguly, elle documente des crimes de guerre pour The Guardian.
Docteure en journalisme automatisé.
Elle prouve qu’on peut être à la fois chercheuse, journaliste d’investigation et voix féministe.
Rae Baker, spécialiste en OSINT maritime, speaker dans les plus grosses confs (DEFCON, Recon Village).
Elle déconstruit les clichés, traque les données là où personne ne pense à regarder, et elle le fait avec détermination et pédagogie.
Olajumoke Elizabeth, analyste cybernétique, engagée dans la transmission.
Elle forme d'autres femmes via SheSecures Africa.
L’OSINT comme outil d’empowerment dans un monde encore dominé par les hommes ?
Elle incarne ça à 100 %.
Sabrina Liverpool enquêtrice privée, OSINT cyber-intelligence.
Elle partage ses compétences pour former d’autres femmes à enquêter, à se défendre, à comprendre le monde numérique.
Parce que la sororité, c’est aussi dans l’intel.
Erin Beffa, Lead OSINT chez Digital Silence, récompensée pour ses enquêtes.
Elle bosse avec Trace Labs pour retrouver des personnes disparues.
Oui, les femmes en OSINT sauvent des vies, littéralement.