et parce que les maux étaient bien plus que des petites histoires d'enfant : on a pris la décision avec elle du soutien médicamenteux lorsque notre fille a eu 17 ans, et n'allait toujours pas mieux depuis son burn out.
Ça a été dur pour elle, et pour nous, cette décision. On me l'a reprochée...
Ça a été dur pour elle, et pour nous, cette décision. On me l'a reprochée...
Comments
J'ai estimé que c'était trop.
J'ai demandé à ce qu'elle arrête le lycée (bonne élève, mais cela la détruisait, et je voulait qu'elle aille mieux)
Ça n'a pas ete linéaire. Il y a eu des bas. Mais globalement
Avec sa neuropsy, elles ont posé des jalons, mis en place des outils pour mieux surmonter. Avec le medoc en soutien, elle a pu capitaliser du positif.
Oh, elle s'effondrera de temps en temps, mais elle a arrêté de culpabiliser et de se détester pour cela. Elle apprend à s'aimer. C'est long.
Mais j'ai aujourd'hui une certitude: nous avons pris la bonne décision
Et ça a changé sa vie pour longtemps.
Pour l'avenir, elle a des armes solides et elle part avec une meilleure connaissance d'elle même.
Et quand elle sera prête, si un jour elle veut reprendre des études ou une formation, on sera là en soutien.
Il y a eu beaucoup de suicides parmis mes oncles/tantes/cousins...