J’ai écrit sur Numerama des tas d’articles qui faisaient réagir, où parfois j’avais franchement tort, parfois vraiment raison. Ça débattait. Aujourd’hui je suis sûr que je ne pourrais plus en écrire le quart sans être harcelé et vilipendé par des meutes organisées, qui ne les liraient pas.
Comments
On peut juste déplorer la perte du sens journalistique des médias je crois...