Monsieur s'inquiète.
Imaginez une personne fortement suicidaire qui, une fois arrivée sur le pont, serait trop émotive et n'arriverait pas à sauter ?
Et bien ce monsieur voudrait avoir le droit de la pousser dans le vide.
(Si, et seulement si, elle est handi bien sûr)
Imaginez une personne fortement suicidaire qui, une fois arrivée sur le pont, serait trop émotive et n'arriverait pas à sauter ?
Et bien ce monsieur voudrait avoir le droit de la pousser dans le vide.
(Si, et seulement si, elle est handi bien sûr)
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Jusqu'au bout solidaires
"Et là, qu'est-ce qu'on fait ?"
Olivier Falorni défend le "choix du libre choix" (administration ou auto-administration) contre les amendements portant sur l'article 9,
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Olivier Falorni défend le "choix du libre choix" (administration ou auto-administration) contre les amendements portant sur l'article 9,
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Comments
_ alors non, par contre ce serait bien qu'on puisse les pousser du pont
En se positionnant comme un sauveur (bien évidemment).
Ça fait froid dans le dos.
Rien à voir, mais ça fait 3 fois que je vois passer ton blouske et que je lis "Monsieur s'inquiète" en me disant "Tiens, mais Céline est avec un mec maintenant ?"
Le député ne parle pas d'une incapacité physique de le faire, mais liée à l'angoisse.
Peut-être qu'il faut écouter l'angoisse plutôt que forcer ?!
Et le consentement.
Et que fait-on pour aider les gens qui veulent en finir, l'ont exprimé jusqu'au bout, et ne peuvent le faire ?
Mais les élus...
Mais il me semble que ça arrive beaucoup trop tard pour que ça puisse faire une différence, on a déjà perdu...
https://bsky.app/profile/reverseyourmind.bsky.social/post/3lovkpjinp227
Je ne suis pas sûr que l'expression "s'envoyer en l'air" soit la meilleure vu le contexte.
"La dernière fois vous étiez d'accord, on fait quoi alors ?"
Les médecins et les familles n'iront pas chercher loin...
https://www.bfmtv.com/politique/parlement/fin-de-vie-les-deputes-approuvent-un-droit-a-l-aide-a-mourir_AD-202505180081.html
La présentation de cet extrait par le collectif Jusquaubout est trompeuse. Falorni ne sous-entend pas qu'il faudrait tuer un malade hésitant. Il défend la possibilité d'un geste du médecin, prévu en amont et après réitération explicite de la volonté du patient.
https://bsky.app/profile/evargalo.bsky.social/post/3lpjhhffsqs25
Pour les symptômes, encore une fois ils sont rarement suffisamment soulagés, et toute l'aide humaine n'est pas toujours mise en oeuvre.
Et quand vient la question d'arrêter les soins qui maintiennent en vie, des lois existent déjà.
Le pire n'est pas le contenu (déjà abominable), mais le fait qu'il croit "moral" de l'exprimer, qu'il puisse proférer une telle monstruosité en posant à l'humaniste. Le renversement des valeurs humaines est total.