Aujourd'hui je vais vous raconter l'histoire de Mme X et son enfant (c'est aussi une chanson de Cabrel, oui) et ce ne sera pas une histoire marrante, je préviens ⬇️
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L'hébergement d'urgence, le 115, est géré par l'État, et conséquemment par les préfectures de chaque département et leur service dédié les DDETS (Direction départementale de l'emploi, du travail et des solidarités) (c'est dans "Solidarités" que ça devrait se passer normalement)
Depuis des années l'État sous-traite la gestion effective de cette mission et n'en garde que le pilotage.
Appel d'offre est fait, une association (géante hein) est retenue, elle a délégation de service public pour assurer la mission de l'hébergement d'urgence
Et elle a plutôt intérêt à bien se tenir ladite association si elle veut garder ladite mission.
Si elle n'obéit pas aux consignes données : à la prochaine reconduction de convention, elle saute et on en trouve une autre.
On aime les chiens obéissants.
Ici, la mission de l'hébergement d'urgence est confiée à l'association ANEF Vallée du Rhône.
ANEF, si vous vous demandez, ça veut dire "Association nationale d'entraide féminine", parce que les 7 fondatrices en 1952 voulaient aider les femmes
Depuis plusieurs années, la préfecture ordonne à l'ANEF de faire sortir des personnes qui sont en hébergement d'urgence (spolier : des personnes étrangères).
Un salarié de l'ANEF a décidé qu'il n'était pas d'accord et a refusé d'appliquer les consignes de la préfecture.
SEUL, je précise
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Appel d'offre est fait, une association (géante hein) est retenue, elle a délégation de service public pour assurer la mission de l'hébergement d'urgence
Si elle n'obéit pas aux consignes données : à la prochaine reconduction de convention, elle saute et on en trouve une autre.
On aime les chiens obéissants.
ANEF, si vous vous demandez, ça veut dire "Association nationale d'entraide féminine", parce que les 7 fondatrices en 1952 voulaient aider les femmes
Les dirigeants de l'ANEF actuels ne sont plus les fondatrices.
Ni des femmes.
Quant au soutien aux autres femmes...
Un salarié de l'ANEF a décidé qu'il n'était pas d'accord et a refusé d'appliquer les consignes de la préfecture.
SEUL, je précise