Alors je blousque essentiellement en français parce que j'estime qu'on est pas tous des pro de la langue de Secouepoire.
Comment ça se passe vous et l'anglais ?
Perso ça va mais ça me demande une grosse concentration quand le texte n'est pas aéré.
Comment ça se passe vous et l'anglais ?
Perso ça va mais ça me demande une grosse concentration quand le texte n'est pas aéré.
Comments
Mais le pire c’est de mettre les préposition à la fin de mes phrases ce qui marche pas du tout en français
(Sinon je propose monsieur Branle-Lance pour le barde d'Avon)
Les années 2010 avec le visionnage intense et répété de séries (et surtout Game of Thrones) en VO ont sérieusement aidé à m'habituer.
Maintenant, je pense naturellement en anglais aussi parfois.
Ecrire, je passe presque systématiquement par une trad inverse avant de poster pour vérifier que j'écris pas de connerie
C'est vraiment mon point faible.
Avec les dépressions, mon cerveau a perdu des capacités dont celle-là. Avant j'arrivais au moins à lire en anglais, là je vois juste des mots.
C'est mieux à l'oral. Et encore.
Un peu honte souvent...
Par contre quand c'est mon tour de parler, c'est un peu la catastrophe.
Impossible de le parler convenablement et ma dyslexie fait des catastrophes à l'écris.
Les textes longs sont fatiguants.
À l'oral je ne pratique pas trop. À l'écoute c'est plutôt VOSTFR. Mais lire des sous-titres ça m'endort un peu...
Mais surtout merci pour l'épiphanie de Shakespeare 🥹
Mais je ne suis toujours pas à l’aise pour produire des textes directement en anglais. Je fais toujours corriger et recorriger par des outils et parfois même traduire certaines expressions.
Pour parler correct par contre il me faut toujours de l'immersion et trois jours de chauffe
Je sais que ma TL a eu la chance d'avoir eu accès ou la curiosité de faire des choses en Anglais.
Je trouve par contre que c'est un sujet clivant.
Pas mal de mes amis IRL ne lisent pas du tout ou ne regardent rien en Anglais.
Elle est indispensable pour mon métier d'ingénieur mais tu as des personnes qui ne sont JAMAIS confrontées à l'anglais.
C'est le cas de mes beaux-parents qui poussent des cris d'orfraie à chaque anglicisme de ma femme.
À l’écoute je peux switcher sur les sous-titres anglais quand je suis en forme.
À l’écrit trop flemmard pour m’ambiancer avec le dico et le décryptage, et l’habitude de lire vite n’aide pas non plus.
Et je ne suis pas à l'aise d'écrire en anglais.
Films et livres je les préfère en VO.