Nouvelle vidéo : Aujourd'hui épisode en voix off pour aborder un penseur de la guerre : Nicolas Machiavel. C'est une pièce en 5 actes. Ou comment le milicien fut conçu comme une réponse à l'emprise des riches sur Florence par la guerre et la finance. youtu.be/XXfl56nB0Us - ThreadSky

surlechampfr.bsky.social • 270 days ago

Nouvelle vidéo : Aujourd'hui épisode en voix off pour aborder un penseur de la guerre : Nicolas Machiavel. C'est une pièce en 5 actes. Ou comment le milicien fut conçu comme une réponse à l'emprise des riches sur Florence par la guerre et la finance.
https://youtu.be/XXfl56nB0Us

Comments

videquantique.bsky.social•269 days ago

C'est un gros boulot et une très bonne vidéo.

Le money glitch des "grand" de Florence est très eclairant.
Et fait penser au "Military-industrial complex" du discours d'Eisenhower

surlechampfr.bsky.social•270 days ago

On présente souvent Machiavel comme un penseur de la modernité politique prônant le cynisme. Pourtant, s'intéresser au contexte de sa vie et surtout à son expérience politique pratique peut nous présenter un tout autre penseur, aux prises avec les effets de la guerre

surlechampfr.bsky.social•270 days ago

sur la société florentine du XVIe siècle. C'est une autre pensée philosophique de la politique et de la guerre qui se dessine alors. Une pensée qui s'intéresse aux enjeux financiers de la guerre, aux conséquences du système militaire employé par un État

surlechampfr.bsky.social•270 days ago

et à la place des conflits sociaux dans la maitrise de la force et de la politique. Construit comme une pièce en 5 actes et un épilogue, cet épisode se propose de vous faire voyager dans la Florence des guerres d'Italie aux côtés des institutions de la ville,

surlechampfr.bsky.social•270 days ago

de ses convulsions, de ses conflits, pour y voir naître une figure autant politique que militaire : celle du milicien.

Bonne journée !

surlechampfr.bsky.social•270 days ago

PS : Il s'agit là d'un travail mené sur plusieurs années avec l'aide de Jérémie Barthas, chercheur au CNRS, et qui a posé d'immense questions de récit et de contextualisation.
Merci à D'histoires en Histoire pour ses relectures et remarques !

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