On peut aimer ou non une personnalité politique, mais l'insulte n'a jamais fait avancer. De moins en moins des femmes et des hommes acceptent la responsabilité de la chose publique, car elles (iles) savent que malgré une bonne volonté certaine, elles (ils) n'échapperont pas aux invectives.
Tous les politiciens sont des cibles pour se faire invectiver. Pourquoi le Journal de Montréal en fait toute une histoire ? Encore du potinage insignifiant. Ce n'est pas du journalisme digne de ce nom.
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