De tous les charniers de nos peuples de Sarajevo jusqu'à Kiev
Honte à ces hommes bourreaux des hommes, triste pays de Noureïev
Comment la patrie de Lénine, comment celle de Dostoïevski
Peut-elle devenir génocidaire du propre berceau des Russies ?
Honte à ces hommes bourreaux des hommes, triste pays de Noureïev
Comment la patrie de Lénine, comment celle de Dostoïevski
Peut-elle devenir génocidaire du propre berceau des Russies ?
Comments
Dis-moi toi le fou sanguinaire, toi le génocidaire d'enfants
Combien de morts dans les ruisseaux faut-il sacrifier de printemps ?
Combien d'orphelins sans familles de mères enterrant leur enfant
Combien de grand-mères sacrifices, sous les bombes de ces tortionnaires
Que tu sois toujours le symbole des libertés de nos destins
À Anastasia, à Igor, à Nadia, à la Terre entière
À tous ces gens, les tambours restent des libertés face à la guerre
À ces millions d'âmes innocentes toujours tâchées du sceau du sang
De la mort que partout sème toujours tous les tueurs d'enfants
Et si mon cœur oui toujours pleure oui de voir toujours tous les tyrans
Toujours nourrir la Terre des Hommes de toujours plus de sang
Au gré des pères perdant leur fils, au gré des fils perdant leur père
Aux mères assassinées, aux sœurs violées par les hordes barbares
Par tous les monstres humanité de désespoir en désespoir
Aux Valkyries sonnant l'horreur des Wagner oui des mercenaires
Mon ami russe je crois c'est l'heure pour toi de choisir dans quel camp
Celui des fusils ou des fleurs, celui de l'amour ou du sang