➡️ Moscou à la Maison Blanche
Devrions-nous donc être surpris d’apprendre qu’un journaliste du média d’État russe, TASS, était présent dans le Bureau ovale alors qu’AP & Reuters ont été exclus ? Non, cela fait sens dans cette dérive de la Maison Blanche.
9/20
Devrions-nous donc être surpris d’apprendre qu’un journaliste du média d’État russe, TASS, était présent dans le Bureau ovale alors qu’AP & Reuters ont été exclus ? Non, cela fait sens dans cette dérive de la Maison Blanche.
9/20
Comments
Et cela fait d’autant plus sens quand on apprend que désormais, le Secrétaire à la Défense, P. Hegseth, a demandé aux services Américains de cesser d’agir contre les cybermenaces réalisées par Moscou. Le Kremlin est déjà dans le Bureau ovale.
10/20
Cela est une suite logique d’une contamination du Président D. Trump par l’idéologie Poutinienne. Incapable de nommer V. Poutine comme étant un dictateur. Un dictateur qui règne sur la Russie depuis 2000 et qui fait exécuter ses opposants politiques.
11/20
Avec cette Amérique aux relents illibéraux, Moscou et Pékin se lèchent les babines. Vos partenaires ont compris le message : vous n’êtes plus un allié fiable. Vos concurrents vont profiter de cette faiblesse pour placer leurs pions et vous serez déclassé.
12/20
Dans le bureau ovale trône fièrement le portrait de R. Reagan. Un Président Américain qui faisait front contre Moscou. Quelle déchéance de voir D. Trump se dire être l’héritier de cet homme et dérouler le tapis rouge au Kremlin et à son narratif.
13/20
Après ce bain de sang, cette chute dans la fange de la Maison Blanche, les leaders Européens ont fait front commun pour soutenir Zelensky. L’Amérique nous a tourné le dos, à nous d’endosser nos responsabilités sinon, nous serons les prochains.
14/20
La quasi-totalité des capitales Européennes l’ont compris : l’heure est à l’indépendance stratégique & militaire. Les dépenses dans la Défense s’envolent et cela est nécessaire pour nous émanciper de Washington.
15/20
Les Soviets puis Poutine ont réussi leur coup en embauchant Trump dès les années 80...