Il y a vraiment toutes les bases à reprendre à gauche sur la toxicophobie (qui est l'une des expressions du sanisme), et l'histoire de la répression dites des drogues, mais qui est en réalité le répression des UD qui hô surprise, correspondent aux populations déjà marginalisées et indésirables. Il y
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Léna Dormeau 🍉🍉
Non. On est pas ensemble et on ne le sera jamais.
Support. Don't Punish.
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Comments
- il n'y a pas de drogues dures ni de drogues douces, ce sont des descriptions légales qui ne valent que pour désigner ce qui est ou
- Une grande partie des usages reste récréative, et donc si la prévention générale est évidemment nécessaire, l'axe addiction-répression ne tient pas en toutes circonstances.
- le regard porté sur les drogues, il n'est toujours porté en réalité que sur QUI les consomme. Rappel que le crack, c'est de la coke basée, mais moins chère et donc
Rappel également qu'on ne parle et qu'on ne s'alarme (à raison) de la "crise des opioïdes" aux EU, uniquement depuis que les classes moyennes blanches meurent d'OD de façon épidémique.
J'écris des textes. Je lis des essais. Je milite. Je vulgarise.
Et c'est tout ce qu'ils ont retenu. Que je fumais des spliffs de temps en temps. Et là, crédibilité zéro.
C'est si imbécile comme pensée.
Parce que l'alcool ou le binge watching Netflix, le brain rot, le doomscrolling ou le shopping compulsif ne sont pas des drogues...
Info ou intox ?
Note elle a déjà parlé du sujet de l'héroïne sur feu twitter notamment des usages récréatifs et contrôlés.
https://x.com/ZoeDubus/status/1759228246770798893