Je n'aime jamais voir disparaître un club de football historique, même si c'était déjà le second Tours FC... Incroyable que cette ville et ce territoire riches ne soient pas fichus d'avoir au moins un club au 3e ou 4e niveau national.
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Un club de football ancien, qui a porté les couleurs d'une ville, mais aussi vu évoluer des joueurs et joueuses de tous âges, des dirigeants, des salariés, des bénévoles, autour d'un coeur commun, quand ça disparaît, oui, c'est quelque chose d'important qui disparaît.
Comme la dernière boulangerie ou le dernier bistrot d'un village, ou une famille dont le dernier représentant meurt sans descendance. C'est une aventure humaine partagée qui meurt, et quand ça se produit aussi bêtement, je ne trouve pas ça sans importance.
quand j'étais petit mon père m'emmenait voir Jimmy Adjovi Boko au FC Tours. Le club avait déjà changé de nom quand j'y ai joué, qq temps après Patrick Vieira, j'y croisais Laurent Bonnart, la famille Dossevi... puis je suis venu faire mes études à Bordeaux. Le pognon a tué mon foot. la tristesse.
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