Une semaine dans la campagne profonde et je me sens changé. Au milieu des champs et des tracteurs, j'ai découvert une vie simple et authentique. Les locaux m'ont appris à sourire à des inconnus, savourer un lait frais et surtout, ralentir. Une richesse qu'on ne voit pas depuis la ville.
J'ai tenté de m'intégrer : un cassoulet partagé, un "bonjour" à chaque passant, et même toucher une botte de foin. Ces gens ne sont pas "arriérés" comme on le croit souvent. Ils vivent avec une sagesse ancestrale qu'on devrait respecter.
Je repars avec des graines pour mon balcon. Peut-être ferai-je pousser un peu de leur authenticité dans ma vie citadine. Merci, la campagne, pour cette leçon d'humilité.
Petit je suis allé en province (Villeurbanne) pour un voyage qui marquera ma vie à jamais. Ce sont généralement des gens rudes, honnêtes et simples. Leurs mains calleuses et leur visages ridés trahissent le passage du temps et des saisons
À Villeurbanne la parole est donnée une fois pour toute. D’une ferme poignée de main, ils vous regarderont dans les yeux sans un mot et vous comprendrez ce que seul le contact de la terre vous apprend: complétez la suite j’ai la flemme
C'est à Villeurbanne, au contact d'un brave autochtone que j'appris à boire plus que de raison. Roger, car tel était son patronyme, éclusait ses 12 à 15 kils quotidien d'une vinasse appelé jaja (ou rouquin), dont la moindre goutte avait l'étonnante faculté de transpercer 5 cm d'épaisseur de chêne.
Comments
Pas hon te?
isi c campane ✊✊🤜🪱