En termes de répartition par temps de jeux par support, la domination PlayStation s'accentue encore. La PlayStation fait 78% et la Switch 22%. Malgré deux jeux acheté sur PSVR, je n'ai pas eu le temps de m'y consacrer.
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Comme indiqué, cette année avait un thème pour moi : Final Fantasy VII. Je n'avais jamais joué à l'original ni aux remakes. 2024 a été l'occasion de plonger à pieds joints dans l'expérience. J'ai consacré 157 heures à FFVII cette année, soit 65% de mon temps de jeu.
C'était très agréable de se plonger cœur et âme autour d'une saga choisie pour laquelle j'ai choisi de dépenser mon temps, par choix, en mettant de côté les alertes marketing sur les jeux du moment. Une démarche ludophile reposante. Commençons donc par parler de Final Fantasy VII.
Final Fantasy VII (1997, Switch). Une partie de jeu et d'archéologie. Des fulgurances (système de jeu, thèmes abordés, univers), mais aussi un vieillissement terrible de la technique, des pics de difficultés inutiles (pour le grind) et une traduction catastrophique qui gâche tout.
Final Fantasy VII Remake Intergrade (2021, PlayStation 5). Quel plaisir de retrouver Midgar de façon aussi détaillée. Je n'ai jamais autant aimé me retrouver immerger dans cette ville cyberpunk dystopique qui dit tant du Japon d'alors et d'aujourd'hui et du monde. Et qu'est-ce que c'est beau.
Final Fantasy Rebirth (2024, PlayStation 5). Expérience en cours. J'aime beaucoup, même si la générosité excessive du jeu dilue aussi son rythme ou le rend ridicule. C'est très bien réalisé mais moins cadré que son aîné. Le prix de la liberté, sans doute. Une aventure au goût de vacances.
Et maintenant le reste ! The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom (2023, Switch). Peu joué malgré les incroyables qualités du titre. Ce que j'aime, c'est comment cet épisode a renversé le concept de suite. Il n'est pas Breath of the Wild car tout le système de jeu a été revu. Courageux.
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