Anne-Lise Ducanda est une ancienne médecin de PMI qui après avoir fait le buzz en dénonçant via médiatisation d'enfants le "fait que trop d'écrans rends autiste", s'est reconverti en "spécialiste de la surexposition aux écrans"
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Le buzz de base était basé sur des témoignages entre autre vidéos d'enfants jeunes et de mères montrant un "autisme virtuel" (je la cite) guéri par un arrêt total des écrans : magique.
Mme Ducanda nous expliquait que les écrans cause l'autisme virtuel.
Bien sûr, c'est n'importe quoi. Les écrans c'est déjà un regroupement d'outils et d'usages tellement variés que ça n'a pas grand sens de les amalgamer ainsi.
Les usages différents ont des effets différents, et même dans certains cas des effets neutres et des effets positifs et utiles.
De plus, non les écrans ne causent ni l'autisme (qui est neuro devellopemental), ni l'autisme virtuel (qui n'existe pas), ni des troubles similaires à l'autisme (sa nouvelle formulation pour dire la même chose).
Si vous cherchez des sources pour justifier cette idée vous retomberez toujours sur Mme Ducanda : Mme Ducanda dans un reportage télé, dans une vidéo YT, un article de journal, etc.
Ça devrait vous alerter qu'elle semble être la seule à soutenir ça.
Autre point qui doit alerter : c'est devenu sa seule activité. Elle vit de cette idée qu'elle a inventé. En soi ce n'est pas une preuve qu'elle dit des choses fausses mais c'est un warning.
Le changement de vocabulaire progressif, pour limiter les critiques, est aussi un warning.
Autre point : des plaintes ont été déposés contre elle.
En particulier une mère, qu'elle a accompagné en tant que médecin de PMI, a porté plainte pour entrave au diagnostic, l'intervention de Mme Ducanda ayant retardé le diagnostic autistique pour son fils.
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Mme Ducanda nous expliquait que les écrans cause l'autisme virtuel.
Les usages différents ont des effets différents, et même dans certains cas des effets neutres et des effets positifs et utiles.
Ça devrait vous alerter qu'elle semble être la seule à soutenir ça.
Le changement de vocabulaire progressif, pour limiter les critiques, est aussi un warning.
En particulier une mère, qu'elle a accompagné en tant que médecin de PMI, a porté plainte pour entrave au diagnostic, l'intervention de Mme Ducanda ayant retardé le diagnostic autistique pour son fils.