À la défense de Daniel Renaud et Sophie Durocher. Ma chronique édito du jour sur la sécurité des journalistes: si vous voulez savoir où on s’en va, ça prend des journalistes, tous les journalistes, pour éclairer le chemin. Veillons sur eux, sur nous. https://www.ledroit.com/opinions/editorial/2024/11/30/la-tete-des-journalistes-na-pas-de-prix-32MB2G2QRZFZBP3YGKXC24IK2E/
Comments
Déclarer que quelque chose est de la diffamation quand c’est inexact, quand on n’est pas juriste, et sans être apte à faire les nuances qui s’imposent, ça s’appelle de la désinformation.
qui défend les victimes de Sophie Durocher ? elle n'hésite pas à utiliser des attaques misogynes elle-même
ceci étant dit, ça n'excuse pas les menaces sur les rs
mais elle est loin d'être la seule personnalité médiatique à en recevoir, c'est pourquoi je demande : quel rapport ???
À moins que vomir chaque jour sur tout ce qui n'est pas riche, blanc et mainstream soit du journalisme. Personnellement, je ne crois pas. Et vous?
https://www.cqemi.org/fr/articles-details/journaliste-chroniqueur-editorialiste-comment-sy-retrouver
Pendant ce temps, Mme Durocher s'adonne elle-même à un journalisme qui frôle le harcèlement et déclenche des vagues de haine publique contre les femmes qu'elle cible à répétition, de Martine Delvaux à Safia Nolin.
Elle est payée par Québecor précisément pour faire du clic à coup d'informations partielles et déformées.
Et Qcor n'est plus membre du Conseil de presse. Ça me décourage de déposer une plainte quant au fait qu'elle me mégenre exprès dans une récente chronique.
En ce qui me concerne, son travail ne reflète pas la dignité de la profession de journaliste.