MacKinnon copine de Dworkin, toutes deux farouchement opposées au porno et au sexwork. Elle a publié un livre récemment traduit en français. C'est donc une réponse, j'imagine. Mais personne ne lit plus MacKinnon. C'est la deuxième vague.
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cette réduction découle peut-être du fait que la référence presque unique de cette ligne féministe sex-neg dans l'ouvrage est Catharine MacKinnon, laquelle s'est effectivement investie dans une approche extrêmement juridique puisqu'elle est professeure de droit

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