Le monolithe s’est effondré, il est redevenu poussière. Et puisque rien ne se perd, rien ne se crée, mais tout se transforme, ses particules essaiment aux quatre vents et pollinisent à tout bout de champ.

https://www.letemps.ch/opinions/chroniques/faut-il-vraiment-danser-sur-la-tombe-de-jean-marie-le-pen

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