J'ai fait 3 ans de ma scolarité dans un établissement privé. Catholique. Il y a une fois où un surveillant à mis la main au cul d'une élève de 14 ans. Elle s'est plainte, et il a été immédiatement mis à pied pendant un an.
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On dirait que le France se réveille. Je suis né en 83. J'ai été scolarisé à l'école publique. Il ne se passait pas une semaine sans qu'un élève se ramasse un gifle en classe, se fasse tirer les cheveux, se fasse insulter ou taper avec les règles jaune de 1 mètre.
Au CM1 et CM2, on prenait les pires gifles. Certain(e)s tombaient de leur chaise. Ma "maitresse" était la directrice de l'établissement. Et elle avait toujours un sourire en coin quand elle violantaient un élève.
La violence du geste pour faire tomber de la chaise une élève. Le directeur de mon école était du genre différent . On était envoyé dans son bureau, il nous prenait en pitié tellement il était gentil. Il nous donnait des bonbons et nous renvoyait en classe. On devait dire qu'il nous avait violenté
Avec du recul et ma vision d'adulte, je pense que le directeur était le cul entre 2 chaises. Il ne devait pas cotionner l'attitude de ses collègues mais en même temps il ne souhaitait pas entrer en confrontation.
Ma classe a été sa dernière classe avant le retraite.
Puis mon père était de la vieille école. Il m'a toujours dit que mon Gdr père lui mettait un gifle si il rentrait chez lui en lui disant que l'instituteur lui avait mis une gifle en classe. Ça s'appliquait à ma sœur et moi bien que mon père ne nous a jamais levé la main.
Le fait que des établissements n'ont pas eu le même niveau d'éthique à la même époque me terrifie, que ça puisse être couvert me terrifie, et toute personne politique cherchant aujourd'hui à minimiser ces histoires ou ne voulant pas en parler me terrifie encore plus.
Sur les traitement sur les enfants, c'est un réveil lent. Je viens d'un village de 800 hab, à l'école, une maitresse de CP, pour punir un élève "perturbateur" l'avait fait courir tout nu autours de la cour. Et les parents n'ont jamais cru les enfants
et ce n'est qu'une histoire parmi d'autres
et je précise, dans ce cas précis, c'était l'école publique du village.
Bref écoutons les victimes, et aprenons surtout de nos erreurs pour ne pas les répéter
Tout depent de l'époque. Il me semble que le maitre d école qui donnait des coups de regles sur les doigts ou ailleurs c'etait par rare y a encore 60 ans. Les choses evoluent heureusement
J'ai deux filles et j'espère ne jamais avoir affaire à ça. Tout aussi flippant, un concierge dans une école proche de chez moi (Liège/Belgique) a utilisé une caméra dans les toilettes des filles pendant 2 ans.
Le fait que ce soit en école privé ou publique, catho ou pas ne change rien, la seul différence c’est comment pense le responsable direct du fautif. Si c’est un connard c’est foutu d’avance et si c’est quelqu’un de « bien » alors il y a sanction rapidement
Betharam est un écosystème assez spécial en France, faites de pouvoir, d'argent et de politique. C'est toujours plus compliqué d'y faire respecter quoique ce soit.
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Après, les bonbons, c'était peut-être une manière d'éviter que les élèves en parlent trop autour d'eux.
Ma classe a été sa dernière classe avant le retraite.
et ce n'est qu'une histoire parmi d'autres
Bref écoutons les victimes, et aprenons surtout de nos erreurs pour ne pas les répéter
J’ai vu une bonne sœur étrangler un élève: RAS
C’est vraiment à géométrie variable