Une des conspirations qui visaient Spotify semble être confirmée: documents et chats internes à l'appui, Harper's Magazine expose un vaste programme interne de Spotify pour polluer les playlists avec de faux artistes qu'ils contrôlent dans le but de payer moins de royautés aux vrais artistes.
Comments
"Spotify was perhaps not alone in promoting cheap stock music." Je n'en doute même pas.
Pas évident de se faire une place dans ce métier-là...
On est loin, très loin, de l'idéal de partage promis au début du Web en 1992.
Le meilleur DJ, c'est celui qui a le meilleur data !