Les médias de pouvoir qui repetent en boucle que "la croisière s'amuse", les facistes et les sionistes sur les réseaux, des anarchistes qui surjouent la radicalité...
Comments
Log in with your Bluesky account to leave a comment
Cette notion a été utilisé de manière trans-partisane des le début de l'opération Freedom Flotilla, Madleen, et des le premier communiqué de l'armée génocidaire Israëlienne lors de l'arrestation de ses 12 passagers :
"The show is over", alors même qu'ils se filmaient en train de distribuer des sandwichs, spectacle édifiant, paradoxal et hypocrite de leur propagande de guerre.
Le cœur du spectacle, c’est l’absence de réel.
Pas d’action, pas de risque, pas de transformation.
Toute action auto-mediatisé n’est pas un « spectacle ».
Même si ça fait le tour des réseaux, même s'il y a des selfies
Une action réelle, dont les acteurs se mettent en danger de mort, qui prend des risques, qui dérange le pouvoir et qui ne sauverait qu'une vie ou permettrait d'avoir des conséquences réelles sur la vie des gens, crée du conflit politique et n’a rien à voir avec le spectacle.
Le spectacle, c’est ce qui neutralise, obscurcit invisibilise les rapports de domination et de pouvoir
Pas ce qui dérange.
Pas ce qui trouble le confort des puissants ou brise le récit dominant.
Dire « c’est du spectacle » dès qu’une action devient visible, c’est, au mieux, un procédé désabusé et cynique mais quoi qu'il en soit ça s'inscrit dans le combat idéologique qui vise a établir le génocide comme inéluctable, nécessaire tout en essayant de faire croire qu'il n'existe pas.
Comments
Pas d’action, pas de risque, pas de transformation.
Toute action auto-mediatisé n’est pas un « spectacle ».
Même si ça fait le tour des réseaux, même s'il y a des selfies
Pas ce qui dérange.
Pas ce qui trouble le confort des puissants ou brise le récit dominant.