En revanche, il manque d’opulence physique dans le sens où il ne domine pas son adversaire. Il résiste suffisamment pour se donner une sécurité technique, mais n’a pas le volume ni la carrure qui rendrait un marquage individuel inefficace (cf. matchs vs PSG)
Défensivement, il met de l’impact dans les duels et a une excellente couverture d’espace, par le repli défensif ou l’anticipation, d’où sa capacité à évoluer en double pivot ou en sentinelle. Il est en revanche limité dans le domaine aérien.
Sans être Rice dans le volume de jeu et les interventions défensives (c’est une référence), il sera un excellent atout pour défendre en transition et défendre l’axe du terrain dans un bloc défensif en place, qui bloque les tirs (caractéristique de Zubi).
En revanche, ce n’est pas un récupérateur. Il est à rapporter à Thomas Partey sur cet aspect, qui aura probablement les mêmes difficultés à défendre contre un 10 type Palmer et à avoir une domination face à un marquage individuel. Il peut progresser.
Avec les départs de Partey et de Jorginho quasiment confirmés, Zubimendi les remplace avec ses qualités, et ses défauts. Il reste ainsi une dépendance avec Rice, garant de l’équilibre et meneur de la défense dans l’axe pour protéger les centraux.
Ainsi, il faut avant tout attendre de Zubimendi un statut de joueur confirmé à plus de 2,500 minutes. Pas forcément titulaire indiscutable, quand Arteta avait dit souhaiter une multitude d’options pour son milieu.
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Avec les départs de Partey et de Jorginho quasiment confirmés, Zubimendi les remplace avec ses qualités, et ses défauts. Il reste ainsi une dépendance avec Rice, garant de l’équilibre et meneur de la défense dans l’axe pour protéger les centraux.