Je ne me permettrai pas de dire quoi que ce soit sur la Syrie, car je ne suis pas compétente pour commenter. Mais en tant que politiste, je ne suis pas étonnée qu’un régime qui donne l’impression d’un contrôle total s’effondre d’un coup, parce que personne n’est là pour le défendre. 1/4
Comments
Personnellement, ça me confirme dans l’idée que l’indicateur à suivre n’est pas la force de l’opposition anti-pouvoir, mais la loyauté des élites pro-pouvoir. 2/4
L'armée d'Assad, c'était la misère
Malheureusement il n’a pas été adopté.
Un peu de psychologie (de comptoir) et les connaissances de l'âme russe d'Anne Nivat sur LCI ?
Peu de parallèle à faire...
Les Syriens, le peuple, depuis plus de 50 ans espéraient
Les russes depuis tant d'années 'support' cet etat
Les élites le militaire l'olig., le peuple acquis, rien ne changera.
En Russie, il aura continuité du pouvoir avec seulement des luttes de personnes.
Vous avez de la merde a la place du cerveau.
Plus d'un sont tombés avant, plus d'un vont encore tomber.
dégueu cette phrase (et pas rattrapée par le contexte)
Ex : une femme se fait violer, un des mécanisme classique c'est la sideration, donc elle ne va peut être pas montrer qu'elle ne veut pas
Pourtant elle n'a pas donné son acceptation (ou consentement)
C'est donc bien un viol
je repense à une de vos remarques concernant Prigojine, au micro de Mr Jubelin il me semble:
"on peut marcher sur Moscou, mais il ne faut pas s'arrêter".
c'était déjà assez intéressant de voir le peu de réactions immédiates que cette action avait engendrée.
Mais c'est comme un lent travail de sape du pouvoir ou l'autocrate se retrouve finalement seul
Pour la Syrie n'est on pas aussi devant un scénario "à l'irakienne" avec la Russie qui lache Bashar car elle a d'autres problèmes à régler.