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adriter.bsky.social
Enseigner l'histoire géographie et supporter le RCL, dans le malheur ou dans la gloire. Entre deux, je lis des livres.
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Recommandé par un vieux libraire moustachu, je me suis demandé ce qu'était cet ovni. Et tous les suivants. Et maintenant c'est mon neveu qui se plonge dedans.
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Et pourtant il y a ce très beau conte en littérature jeunesse :
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Petite correction à apporter sur la forme, on ne parle plus de Dom Tom depuis 2003 mais de DROM et de COM.
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J'y vois plus un soleil pas content avec un gros nez.
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Un gros achat immobilier par exemple ? Ou est-ce que tu penses à autre chose ?
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Et comme à l'époque on chantait, au travail, dans les grèves, rien de tel que de conclure ce retour coup de cœur sur une chanson hommage, analysée dans le livre :
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Un livre clair, entraînant, qui reconstruit le contexte autour d'une figure qui n'a pas laissé beaucoup de traces. On se laisse accompagner par la plume de l'autrice qui reconstruit pas-à-pas cette trajectoire marquée par les "silences de l'histoire".
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Je ressors de là en comprenant mieux Ivanhoé (vague souvenir de cette histoire de Normand et de Saxons qui m'avait laissé perplexe) et en portant un regard désenchanté sur le dessin animé favori de l'enfance. Mais surtout fasciné par la plasticité du mythe. Une lecture à conseiller les yeux fermés.
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En fin de compte, j'ai pu apprécié au-travers de cette synthèse éclairante que la vraie question n'était pas de savoir s'il avait vraiment existé mais plutôt comment son histoire avait évolué au cours des siècles.
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Il fallait enfin que je puisse répondre à la question de mes filles : "Il a vraiment existé, Robin des bois?". Et autant dire qu'une rapide recherche internet ne m'avait pas vraiment appris grand-chose!
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Le lire me permettait de me replonger dans une adolescence où je découvrais Kevin Costner en archer vengeur.
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Le lire me permettait de me replonger dans une enfance bercée par le Robin des bois de Disney.
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Conclusion : Un ouvrage à mettre entre toutes les mains, enfin surtout celles de ceux qui s'intéressent au thème de près ou de loin et souhaitent dépasser les clichés et stéréotypes autour des peuples du Nord.
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Le format enchaîne de courts articles d'une à deux double pages, richement illustrées, sur le format de la documentation photographique. C'est pointu, détaillé sans être trop ardu. La progression dans les thématiques abordées permet de ne pas être perdu. J'ai appris plein de choses !
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Vient le sommaire : Les origines, la société, la vie quotidienne, la religion, la mythologie, la navigation, les voyages, les guerres, quelques portraits, la christianisation et l'héritage. C'est touffu !
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Pour commencer, premier regard sur le "collectif". Bien sûr, on y retrouve l'équipe de Nota Bene mais pas que : plusieurs spécialistes universitaires du thème dont Lucie Malbos. Impression immédiate du sérieux de l'ouvrage.
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En plus, j'avais déjà eu entre les mains des ouvrages récents sur les vikings donc je ne me sentais pas de grandes lacunes sur le sujet. Enfin, j'avais un peu peur de l'ouvrage "commercial" défonçant les portes ouvertes. Pauvre de moi, j'avais tort !
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En même temps elle partait de loin la médiathèque. Au rayon histoire c'est Ferrand, Deutsch et quelques ouvrages de monographies locales. Donc peu ou prou ça :
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Déjà il faut que je confesse être tombé dessus par hasard. J'avais vu passer des billets dessus, surtout la promo de l'intéressé, forcément élogieuse mais je n'avais pas prévu de le lire dans un futur proche. Merci la médiathèque du quartier !!
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Hum... Quand je faisais un parallèle avec Banza c'était pour être optimiste, hein ! Les croisés, c'était pas obligatoire. La poisse.
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Argh. Les images étaient déjà plutôt impressionnantes mais là... Force à lui. Ce qui était une nécessité pour le mercato hivernal devient maintenant une urgence.
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Et puis ça donnerait des choses à dire quand on croise des collègues lillois au boulot qui te parlent de leurs soirées européennes.
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600 pages plus loin, avec l'impression que j'allais finir par me servir de ce pavé pour caler un meuble en attendant de retourner à la médiathèque, voilà que tout s'agite au cours d'une grande bataille qui rebat les cartes. Je crois que la chronique des tomes suivants attendra.
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Pour bien faire, tous les personnages secondaires vont faire de même à coup de chapitres courts. Normalement c'est pour accélérer le rythme de la lecture mais ici, je dois avouer que j'ai commencé à m'y perdre. Et à fatiguer.
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Le deuxième poursuit l'histoire directement après le plot-twist de la fin du tome 1. Notre personnage , Ceda, avance dans sa quête principale mais à la manière d'un jeu Elder Scrolls (Morrowind, Oblivion ou Skyrim au choix) elle va bifurquer dans une foule de quêtes secondaires.
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Voilà pour le résumé du premier tome. Cela se laisse lire. Mais il est clairement un tome d'introduction qui pose les bases de cet univers et installe les protagonistes.
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Nous suivons Ceda, jeune fille en marge, nourrie par la violence et biberonnée au drame dans sa soif de vengeance. Des personnages s'ajoutent, tous avec de bonnes raisons de vouloir botter les fessiers royaux.
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Cette cité est dirigée d'une main de fer par douze rois immortels d'une cruauté sans égales (pas les Harkonnen) reposant sur un bras armé dévastateur (pas les Sardaukar, en plus ils se battent pour la maison impériale) et des monstres moitié morts-vivants.
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Le premier tome s'ouvre sur la présentation d'un monde du désert imaginaire (oui, c'est de la fantasy, normal) qu'on place aisément au Moyen Orient. La cité qui donne son nom à la série est entourée par de turbulents voisins et de non moins turbulentes tribus qui rêvent de la voir tomber (Dune ?)
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Le made in Gaillette + critiques sur l'absence de stats magiques dès ses débuts m'ont fait pensé à Banza. Il est sur les mêmes bases que sa première saison en L1. À 21 ans. Pas mal. Reste à voir la suite de la progression. Perso, j'ai envie d'y croire pour une saison à 10 buts d'ici 2 ou 3 ans.
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D'accord, mais seulement pour rebâtir Notre Dame. 😊
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En question bonus :"Citez les ministres de l'éducation nationale sous les mandats Macron par ordre croissant selon la durée dans le poste". Pire encore, un jeu timeline spécial Ministres de l'éducation nationale !
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Ainsi, bien qu'un événement modeste à l'origine, la bataille de Covadonga a été réinterprétée au fil du temps comme un mythe fondateur, servant des récits identitaires et politiques variés ! Maintenant, la prochaine fois qu’on vous parle de la bataille de Poitiers, vous pourrez élargir le débat !
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Sous le régime de Franco (1939-1975), Covadonga est glorifiée comme le berceau de l'Espagne chrétienne, renforçant une vision unitaire et catholique de l'histoire espagnole. En 1965, Franco y fait même ériger une statue (oui, comme Napoléon III avec Vercingétorix).
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Aux XIXᵉ et XXᵉ siècles, les nationalistes espagnols s’en emparent pour en faire un symbole de l’identité nationale et de la lutte contre les envahisseurs étrangers. C'est dans ce cadre qu'est construite la basilique Santa Maria la Real de Covadonga (1877-1901) visible sur la photo précédente.
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Au fil des siècles, la bataille de Covadonga prend une dimension mythique. Elle est intégrée dans les chroniques médiévales pour souligner la prétendue providence divine derrière la victoire chrétienne.
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Bien que la portée militaire de la bataille soit limitée, elle devient le point de départ symbolique de la Reconquista, le processus de reprise de la Péninsule qui s’achève en 1492. Pélage se proclame roi, établissant un petit royaume qui deviendra le noyau cette « Reconquête ».