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Poétesse 🌸 " Ce bleu oublié, cette ardeur connue, Et ce chuchotis au bord de la nue, Mais c'est moi, c'est moi qui commence ici... " Jules Supervielle Littérature -Peinture- Musique- Médecine - Photographie - Art- Chocolat Aux : " ÉditionsDuChameau "
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S'éloigner du monde l'esprit au recueillement le cœur à genoux #haïku 💙

Les Éditions du Chameau tiendront un stand au salon du livre " Époque" de Caen, les 24 et 25 mai prochain, dans le cloître de l'abbaye aux hommes (mairie). Vous pourrez y découvrir mes derniers recueils et vous les procurer si tel est votre souhait. leslivresduchameau.com/index.php/2024…

Faire silence quand au dehors tout est tumulte Quand la mort frappe la vie en fleur Quand les étoiles ne chantent plus n'éclairent plus nos nuits Écoute l'autre silence celui des âmes sacrifiées Cela et rien que cela est prière du ciel. Ma 📷

Le souvenir est une aube qui s'éternise

Il n'a pas crié Il n'a pas dit mot Seuls quelques oiseaux Dessus les rameaux Ont perçu la larme Et le sourd vacarme Quand l'arbre est tombé.

Un amour, tel un chagrin, ne se remplace pas par un autre. #UnePensée 📷 feu mon rosier blanc.

Je veux la longue nuit, celle qui s'éternise Où fleurissent les fleurs qui ne se ferment pas Sans soleil et sans pluie, sans rêve qui s'épuise Et de l'ombre l'éclat. #Poésie 📷 perso

Hoquet flamboyant que cette agonie solaire entre ciel et mer #haïku 📷 perso

Où commence la joie se terre aussi la douleur. 🎨 L'Annonciation Sandro Botticelli

Je sais le réel puissant dit le rêve... Mais moi qui puis l'imaginer autre suis encore plus puissant. 📷 La lune à l'heure bleue

Le jardin dormait sous l’hiver En profondeur un changement Sourdait sous terre un mouvement Comme un printemps! Comme un printemps ! #Poésie 📷 Perso

Les voyez-vous passer Ces âmes du passé Ces frêles libellules Bleuies au crépuscule ? L'espace d'un instant Un arrêt près du banc Avant que l'océan Et le ciel ne se fondent Au seuil d'un nouveau monde #Poésie 📷Perso

Demeure de l'âme fenêtres béent sur le ciel château intérieur #haïku 🖌️Thérèse d'Ávila François Gérard 1827 Infirmerie Marie-Thérèse, Paris.

Instable bonheur tes rivages sont mouvants à mes pas trop lents #haïku

Je suis très sensible aux signes, aux synchronicités. Ce sont des éclairages venus d'un monde que l'on dit obscur, de petits phares projetant leurs rayons lunaires sur nos mers intérieures. Faut-il encore les remarquer, pour ne pas passer à côté avec nos gros sabots. 🎨 Gustave Doré

Je ne veux rien perdre de ce que je ne possède pas encore. Ceci est mon pari pour demain. Croire en un avenir et que les saisons puissent encore me saisir.

J’ai attendu du ciel la douceur annoncée Des arbres à tête d’or veillaient sous la vesprée Le silence perlait un peu de sa moiteur Et dans cette Odyssée se délitait ma peur. #Poésie

Les rêves ont la légèreté d'un vent d'été. Ils n'ont pas la force de pousser nos portes, c'est à peine si leur souffle caresse nos fondations. C'est pourquoi je laisse ma fenêtre ouverte. #Rêve 🎨 Edvard Munch

Douceur d'être simplement sans autre ambition que cette conscience d'être. 📷 perso

L'âme aimerait s'enfuir, mais le corps la retient Qui détient l'avenir, peut-on croire au destin Le regard voit déjà plus loin que l'horizon Il y a tant de ciels au seuil de la maison. #Poésie #Alexandrins 📷 perso

Qu’importe l’illusion si ton été perdure Le temps que la raison recouvre la blessure L’oasis est refuge aux ombres du désert Dans l’indécis du bleu se cache un diamant vert #Poésie 📸Perso

L'écriture me tend sa main silencieuse. Dans cet espace libre de ne pas penser, lieu ou l'esprit vagabonde sans avoir à se fixer, se trouve le mystère de la création. #Écriture

Actualités #poésie : Grand cahier 025 Minotaure – tinyurl.com/mer8u3hd ACCUEIL : christian-0-guernes.blogspot.com Révolvie 034 Le horzain 03 Pierre-Yves Trémois (1921-2020) Le Minotaure (1951)

Au plus profond de soi il suffit de descendre Tout est déjà écrit sur le sable et la cendre Et nos plages fleuries au sel de nos déserts Aux plus beaux oasis où les eaux coulent claires Sur le songe fatal. #Poésie #Alexandrins 🎨 Le Ballon Félix Vallotton

Que puis-je deviner que mon âme ne sache Autre que ce néant qui m'attire et m'attache Je ne puis convoler libre dans cette vie Sans mes yeux épouser les cernes de l'ennui. #Poésie #Alexandrins

Il y a un grand avantage dans l’attente. Comme ne pas être précipité dans les ravins de la désillusion, les ornières du rêve abouti. Dans cette attente, goûter la plénitude du rien, de l’inachevé. La grâce du vide, le sacre de l’inexistant.

Le livre refermé L'histoire S'endort Au feuillet Du désir Replié Sur lui-même. #Poésie 🎨 Chagall

" Sans imagination l’amour n’a aucune chance. " Romain Gary

On oublie tout Puis on recommence... À voir À désirer À aimer Comme si le jour à naître Était aussi celui de notre naissance.

Je n'ai pas trouvé mieux à ce jour que Poésie et Rêverie pour traverser le réel sans toucher terre. 🎨 Chagall

Car vois-tu tout passe les jours heureux et les autres qui s'enfuient déjà #haïku 📷 perso

Faut-il que le merveilleux de la vie à certains soit caché, pour qu'ils n'en distinguent la lumière qu'au jour où leurs yeux se ferment. 📷 perso

Ivre seulement d’exister. Guillevic

Je te murmurerai de l'aube les mystères Et l'écho accablé des paradis perdus Le secret des forêts leurs rêves solitaires Les étreintes mourantes et les espoirs déçus. #Poésie 📷 perso

Le Mont à travers champs.

Quand le soir tombe sur la lande, c’est à peine si le visiteur étranger distingue, sous la bure de nuages bas, une ombre qui persiste. #Écriture

Un joyeux anniversaire à Saint Augustin, 1670 ans dites donc ! Un beau prétexte pour aller feuilleter le manuscrit Français 18, la traduction française de la Cité de Dieu par Raoul de Presles. Manuscrit réalisé entre 1469 et 1473. Sur Gallica : bnfapp.page.link/PFLKcbovUJfg...

" Sans imagination l’amour n’a aucune chance. " Romain Gary

Mais tes mains brûlent De ce festin Non porté à tes lèvres. Tu as aimé l’aube fragile… Tu as vu le soleil briller La nuit finit toujours par tout recouvrir. #Poésie 🎨 Gustave Moreau

Bleuet de novembre Dans champ de coquelicots Résiste à l'oubli #Haïku

L’extrême étirement de la nuit sur le jour De qui naît-on vraiment si ce n’est de l’amour ? La houle creuse un lit, l’étoile s’y endort Dans la vague surgit un galop qui prend corps On entend dans ses plis " Les Chants de Maldoror " . #Poésie