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preacherman.bsky.social
Cinéphage compulsif, bâfreur de pop-culture, lecteur inassouvi, alcoolique notoire, être humain compliqué...
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Prolific Poster

“Put the glasses on! Put 'em on!” cinephiliabeyond.org/live-john-ca...

Revu ce concurrent direct de Hard Target où un Ice-T dreadlocké se voit traquer par un all star cast de gueule. Des bourgeois mascu prennent leur pied a chassé du homeless dans la forêt, c'est aussi simple qu'efficace. A voir pour les acteurs qui s'éclatent a jouer une belle bande de psychopathes !

Vu ce film "perdu", projet d'une vie conçu en 1978, tourné en 1994 et sorti en 2023. David Allen a rêvé un film trop grand pour l'économie dans laquelle il travaillait. Son film, terminé après son décès, est cheap avec des acteurs mauvais comme des cochons combattants des créatures en Stop motion

Vu cette comédie qui devait déjà être ringarde en 1997. L'impeccable Joe Pesci fait se qu'il peut pour tirer vers le haut cet empilement de quiproquos et de mauvais Vaudeville . Reste une scène de rêve sympa et le gag avec la grand mère en voiture qui m'a fait rire. C'est pas beaucoup.

Pour s’exiler, loin de cette ambiance actuelle bien bien pesante, un peu de musique douce et légère ne nuit pas.

Vu ce huis clos qui prend quelques fois des allures de comédie noire. Difficile de retrouver la marque du réalisateur de Braveheart et d'Apocalypto dans ce produit de consommation courante. C'est correctement foutu, ni plus ni moins...

Les nazis veulent jouer ? On va jouer.

Forget Rocky. Forget Rambo. In Cop Land, Sylvester Stallone delivers a quiet, heartbreaking performance in one of the most underrated films of the ‘90s. A deep dive into Mangold’s gritty masterpiece: cinephiliabeyond.org/youre-gonna-...

Vu le Guerrier avec Barry Prima qui incarne pour la première fois Jaka Sembung, héros national Indonésien qui lutte contre les hollandais et de fourbes sorciers. C'est un fabuleux nanar, sans temps mort et blindé d'idées WTF, de décapitations et de combats bondissants. Faut que je vois les suites !

Sic Transit Garber’s Subway: ‘The Taking of Pelham One Two Three’ cinephiliabeyond.org/the-taking-o...

Un blockbuster avec des milliers de figurants et des plans dignes de peintures du 19e, mais qui oserait tout: des trouées poétiques,des mouvements fous,des surimpressions,des incises subliminales... Pareille débauche de moyens mise au service d'une poésie brutale et élégiaque, j'avais jamais vu ça.

Vu cet étrange polar du versatile Danny Boyle où Vincent Cassel et Rosario Dawson fouillent dans la tête de James McAvoy à la recherche d'une toile de maître. Une sorte d'Inception pour adulte où les twists s'enchaînent sans que le récit perde de sa cohérence. Surprenant et maîtrisé.

Film que vous avez vu plus de 6 fois, en utilisant que des gifs.

Non seulement Trump s’auto-légitime dans un coup d’État en cours ("Qui sauve le pays n’enfreint aucune loi"), mais il peut aussi compter sur son nouveau gadget humanoïde, Elon Musk, qui lui pond un dog whistle néonazi. 14 drapeaux américains. De quoi parle-t-on ? 🧶⏬⏬

Oui, je sais, c'est vieux, mais c'est toujours drôle 🤣🤣

Revu ce western avec lequel Walter Hill entérine l'héritage de Peckinpah sur le genre. Sur le rythme indolent d'une balade sudiste, Hill dresse les portraits de Robin des bois de l'ouest au mode de vie sauvage en butte à la violence beaucoup plus dure du capitalisme naissant.

George Cukor Hosts a party for Luis Bunuel. Back Row from left: Robert Mulligan, William Wyler, George Cukor, Robert Wise, Jean-Claude Carriere, and Serge Silverman. Front Row from left: Billy Wilder, George Stevens, Luis Bunuel, Alfred Hitchcock, and Rouben Mamoulin.

Sympathique parodie de giallo, blindée de citations et références pour les fétichistes du genre. Une photo soignée, une BO avec des titres de Carpenter Brut ou Claudio Simonetti, de la nudité et du gore... Ça se prend pas au sérieux 2 minutes et c'est plus rigolo que le cinéma de Cattet & Forzani.

Gros blockbuster chinois bénéficiant d'une fabuleuse direction artistique, visuellement magnifique. C'est blindé de combats virevoltants entre guerriers dotés d'armes extravagantes. Dommage que le scénario se limite à un empilement de complots et de trahisons qui rendent le visionnage compliqué.

If you see this, post a knight

Dimanche.

Avant de devenir un produit d'appel pour Paramount+, Tyler Sheridan a écrit ce remarquable "Comancheria". Entre polar et western, entre les frères Coen et Clint Eastwood, Portrait de l'Amérique rurale foudroyée par la crise. Des acteurs au top au service de dialogues au cordeau. Un petit classique.

Vu la version 3D de cette suite oubliée d'une "adaptation" atroce qui avait fait illusion en son temps. C'est toujours aussi moche, mais quelques plans bénéficient du relief qui rendent tangible cet univers artificiel et creux.

Si même la nature s’y met 🤷🏻‍♀️

Réponse de William Castle au Psycho d'Alfred Hitchcock sorti l'année précédente, Homicide bénéfice d'une formidable première demi-heure. Mais tout s'écroule dans un deuxième acte lourdaud, la faute a des acteurs pas vraiment convaincants et une résolution qu'on voit venir à des kilomètres...

C’est ça, le tableau pour lequel Macron a porté plainte. Ce serait dommage que tout le monde ne le voit pas.

Malgré un sympathique Eurovision il y a quelques années, la carrière de Will Ferrell est en chute libre depuis Anchorman 2. Et c'est pas cette comédie romantique complètement random qui va inverser la tendance. A part la scène avec l'alligator, difficile de trouver un intérêt à ce film. Triste 😔

SPIDER BABY, OR THE MADDEST STORY EVER TOLD (1967, Jack Hill)

🔥 NOUVEAU PODCAST 🔥 Émission un peu particulière aujourd'hui : une captation LIVE de notre présentation de #RunningOnEmpty de Sidney Lumet, organisée par la médiathèque de Rumilly (Stéphane 🙏) dans le cadre des nuits de la lecture ! Bonne écoute ! ❤️ www.podcastics.com/episode/3454...

Grosse claque que ce portrait d'une brute perdue dans les méandres d'un monde où la chevalerie cède sa place à la politique. Le charismatique Shintaro Katsu est à la fois drôle, touchant, ridicule et brutal. Chaque cadre est d'une beauté et d'une précision diabolique. Une splendeur.

Version au rabais de La Balance, L'arbalète avait tout pour être un classique du nanar franchouillard : Un scénario ridicule, une mise en scène anémique et des dialogues complètement a côté de la plaque. Ça pourrait être très drôle, c'est juste chiant comme la pluie.

Enfin vu la version longue du meilleur film de Ronny Tu et ce qui restera certainement le meilleur rôle de Jet Li. Un superbe hommage aux Wu Xia de la grande époque mais aussi aux arts martiaux et leur philosophie. Du grand et noble cinéma.

Revu ce formidable western contemporain en forme d'hommage au cinéma de Peckinpah. Écrit par John Milius et réalisé par Walter Hill : on est pas là pour beurrer les tartines ou faire de la poésie. On sue, on picole,on jure et on flingue. Un film d'un autre âge...