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𝑁𝑎𝑡𝑢𝑟𝑎 𝑅𝑒𝑔𝑖𝑡 𝑒𝑋𝑖𝑡𝑢𝑠
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La notion de supériorité est toujours relative, mais en ce qui concerne l'autocritique, je pense que l'argument tient. Toutes les civilisations ont été violentes à des degrés divers, mais l'Occident est la seule à avoir produit une autocritique véritablement profonde et conséquente.
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Oui, l'extrême gauche doit être fermement combattue. C’est un impératif non négociable : les idéologies haineuses et destructrices qu’elle promeut doivent être éradiquées par une opposition résolue et sans compromis.
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Un cosmopolitisme identitaire qui incarnerait à la fois une identité ouverte à l'altérité et la conscience que cette ouverture ne peut exister sans la préservation de l'identité elle-même.
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Si le cosmopolitisme consiste à maintenir une forte majorité d'occidentaux, un environnemnt permettant l'expression des singularités, tant occidentales que non-occidentales (immigrés THQI), alors il est auto-entretenu, stable ET instable, c'est un cosmopolitisme identitaire.
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Il y a évidemment des degrés dans le cosmopolitisme, si le cosmopolitisme consiste à mettre l'occidental en minorité et à importer les populations les plus ethnocentrées et tribales du monde, alors il travail à sa propre destruction, c'est un cosmopolitisme "anti-cosmopolite".
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Cela implique un modèle où l'Occidental est à la fois suffisamment ouvert à l'altérité et à la nouveauté, mais également assez conscient de sa propre identité, démographiquement solide et affirmé racialement, pour éviter de se dissoudre dans l’altérité. Qualité et quantité.
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À l'inverse, un Occidental de droite ou identitaire aspire à un monde où le gauchiste, porteur de singularité, et le non-Occidental, incarnation de l’anti-singularité, peuvent coexister et interagir de manière constructive, chacun contribuant à un équilibre dynamique.
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Un Occidental gauchiste pousse la logique de la singularité à un tel extrême qu’il en vient à accepter son propre effacement, son propre suicide. Cette négation de soi conduit, in fine, à l'uniformisation du monde, exactement comme le souhaitent les anti-occidentalistes de droite
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L'enjeu central réside non seulement dans l'équilibre entre Chaos et ordre, Occident et Droite, singularité et anti-singularité, mais aussi dans la reconnaissance que cette position constitue la seule voie véritablement viable et conséquente. Il n'existe aucune alternative.
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Pour atteindre le point critique, cet équilibre où la réaction en chaîne est auto-entretenue, nous devons être : à la fois profondément "occidentaux" et résolument à droite, révolutionnaires et réactionnaires. L'enjeu est de trouver ce point d'équilibre entre Ordre et Chaos.
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Quand à certains occidentaux de droite ils sont, pour filer la métaphore, "sous-critiques", ils sont de droite, mais pas assez "occidentaux". Ils sont trop "stable" et pas assez singulier.
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Ainsi pour revenir à mon affirmation initiale. L'occidental de gauche est "trop occidental", trop singulier, trop instable. Pour utiliser un terme physique il est "super-critique", il est l'emballement de la réaction en chaine et l'explosion.
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Il y a chez ces occidentaux de droite un désir de se "désingulariser", de s'uniformiser et se conformer à la norme culturelle humaine. De faire en sorte que l'Occident devienne "une civilisation parmi d'autres" ni meilleure ni pire. La médiocrité (moyenne) comme horizon.
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Mais si l'occidental de gauche incarne un excès "d'occidentalité", il existe également, à droite, des occidentaux qui en manquent cruellement. On les reconnait, entre autre par leur critique de l'impérialisme ou de l'hégémonie occidental, leur volonté d'un monde multipolaire etc.
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Mais que des israéliens (donc des occidentaux) tuent des palestiniens (non-occidentaux), ah ça non, nous avons un devoir moral, nous sommes civilisés, nous sommes uniques et singuliers. Sous-entendus nous "vallons mieux que ça".
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Même chose pour le conflit israélo-palestinien. Que les peuples du tiers-monde se massacrent entre-eux pour des motifs religieux ou ethnique, c'est triste mais "ils sont ainsi", "c'est la culture malheureusement commune et banale des barbares."
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En ce sens, l'occidental de gauche, est un "hyper-occidental", ultra-malléable, et excessivement WEIRD. Il adore se singulariser à l'excès, d'où, par exemple, le double discours sur l'ethnocentrisme, qu'il refuse pour l'occidental mais accepte pour le non-occidental.
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Et l'idée contre intuitive, que l'occidental, en "n'ayant pas de culture" possède en réalité la "culture" la plus unique et singulière de toutes, que si toute les cultures humaines sont singulières, la culture occidentale (en tant que "non-culture") serait "hyper-singulière".
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Tout est dans cette idée :
"Tout les peuples du monde on une culture forte et singulière, seuls les occidentaux (ou à défaut les blancs) n'ont pas de culture."
Cela illustre à la fois, pour le non-occidental la volonté de s'extraire de la norme humaine, en se singularisant.
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il n'en reste pas moins que la "norme" en terme de culture humaine est plutôt stable, traditionnelle, collectiviste, communautariste, ethnocentrique etc. Le singulier cherche l'universel, le commun cherche le singulier.
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Et c'est, par ailleurs, ce qui pourrait expliquer le comportement de certains non-occidentaux pour affirmer, parfois de manière outrancière, leur culture, de vouloir se "singulariser". Car, si les cultures "non-occidentales" sont, évidement, diverses et uniques, à leur manières,
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L’Occidental appartient à un capital humain unique, une singularité émergeant au sein d’une conformité humaine globalement conservatrice, communautariste et traditionnelle. C’est d'ailleurs, probablement, ce particularisme occidental qui nous pousse à chercher "l’Universel".
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Être Occidental, c’est déjà, aux yeux de 90 % du reste du monde, être un "gauchiste" :
Individualiste, malléable, éduqué, peu enclin au tribalisme ou au clanisme, ouvert à l’altérité. Bref, un WEIRD, une exception anthropologique et culturelle.