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antigoneisqueen.bsky.social
cette meuf relou qui pense que 98% des choses aimées par les autres (et elle-même) sont de droite
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Ce sera toujours le dernier tiers de 28 jours plus tard de Danny Boyle qui fera que j'aime le revoir. Esthétiquement follement ancré dans les années 2000 mais avec le folie d'un Boyle qui veut tout tenter, le film prend un tournant politique contre l'armée, n'oubliant pas les racines Romero.

Olalala quelqu'un qui n'est ni ma mère ni un proche veut acheter un dessin de mon expo. Le plus drôle étant que cette personne veut celui que je trouve le plus raté ahah je suis une star officielle

Petit partage de ma série les petites bêtes sur du petit A5 et en aquarelle.

Devant Buddies de Arthur J. Bressan Jr. je n'ai pas pu m'empêcher de penser à du Fassbinder avec le huis-clos souvent, la radicalité esthétique, la sensibilité et surtout cette volonté de rendre sérieux la tragédie sans l'alourdir. Film politique de conversations sur le SIDA, il est terrassant.

Pour le @clublumiere.fr j'ai écris l'un des articles dont je suis je pense le plus fière ! Sur le grand film Il fait nuit en Amérique 🦉 clublumiere.fr/la-mise-en-s...

BloodSisters: Leather, Dykes, and Sadomasochism de Michelle Handelman est un incroyable documentaire qui plonge avec crudité dans la communauté lesbienne leather dans les années 90. Par son sujet, il réfléchit sur l'identification en temps que lesbienne de manière général comme un acte politique.

De retour dans cette saison où je me rends compte que j'ai que des robes à mettre et que je veux pas en porter parce que je sais pas moi

Anhell69 de Theo Montoya est un film cimetière et ainsi l'un des plus tristes que j'ai pu voir. Très vite on craint que chaque personne qui apparaît à l'écran, avec ses mains vernies, ses attirances, ses vêtements, ses bijoux et ses tatouages est peut-être déjà morte à l'heure où on la rencontre.

Les personnages de expédition 33 sont tellement designés selon les plus grands standards de beautés que ça fait que le jeu a immédiatement une esthétique datée je trouve. Tous ces personnages taille 34 grands yeux bleus beaux cheveux soyeux on est en 2003 ou quoi

Je pense que les artistes qui boycottent pas les festivals tenus par des milliardaires et programmant des agresseurs devraient essayer de saboter un peu le festoche de l'intérieur au lieu de se complaire dans des grandes justifications. Là bim bam boum tu coupes des câbles, inspiration Cannes 2025

Vous savez que moi dès que j'imagine la société idéale j'imagine que genre par rue ou immeuble on se fait à manger les uns pour les autres, on met tout en commun, on se relaie avec des planning établis et on arrête de rendre si individuelle la cuisine.

Mdr @poncefleur.bsky.social qui partage des vidéos sur Adorno à ces milliers de viewers ça c'est du très bon taff d'influence

Avec le mélange 2D et 3D, avec des design horrifiques jouant dans la vallée de l'étrange, avec l'introduction de l'animal comme nouveau point de questionnement, Ghost in the Shell 2: Innocence de Mamoru Oshii poursuit ses réflexions sans réponse ni but mais très belles sur l'Humain et sa création.

Après avoir procrastiné ça pendant des mois j'ai enfin pris une décision pour les vacances d'été. Et ça va inclure 5 jours à Montpellier donc si des gens ont des adresses vegan là bas je prends

🏳️‍🌈 Je profite de ce premier jour du mois des fiertés pour vous partager un nouvel article que je viens de publier sur les représentions aro-ace dans le cinéma japonais, et plus particulièrement dans le film I Am What I Am. On nous oublie souvent en bout de sigle LGBTQIA+ mais on existe pour de vrai !

Nous, les habitants de Gaza, sommes en train de sortir de l’histoire en temps réel La chronique de Nour Elassy @mediapart.fr www.mediapart.fr/journal/inte...

Sans son épilogue, The Phoenician Scheme de Wes Anderson avait tout pour être l'un des films les plus cynique, cruel et noirâtre de son auteur. Hélas, il dissout sa critique du capitalisme mortifère, du colonialisme occidental dans une histoire de rédemption et réconciliation. Tout serait ironique ?

Unpopular opinion visiblement : j'aime pas le foot mais j'aime la joie bruyante dans les rues

Une fois qu'un a passé la première analyse autour du pastiche de l'histoire du cinéma, Résurrection de Bi Gan continue de prendre de la profondeur. Chaque segment déjà est un lieu où il invente sa propre mise en scène, dépassant la simple imitation. Mais ce film n'est pas à mon sens qu'un hommage.

Un petit partage de mon dernier dessin. J'ai pas plus de commentaires à faire il parle pour lui même je pense