benoisteste.bsky.social
Musicien.
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Nommer les choses avec justesse va à l'encontre d'une loi si réactionnaire.
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Le "bon sens" est sans nul doute une idée très dangereuse et tellement de droite.
Espérons que leur contribution à la vie de tous relève d'autre chose de plus politique et de plus social.
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Il est important, voire "primordial", de nommer les choses avec justesse, et l'écriture inclusive peut nous aider à cela.
En revanche il est fallacieux de mettre sur le même plan les besoins primaires comme le logement, la santé ou la nourriture.
La vie est multifactorielle comme ses maux.
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L'horreur a toujours fait recette. Quand l'outrance et l'ignominie des idées formulées prépare à la "banalité du mal".
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C'est triste si c'est ça.
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Attention il est question du chiffre d'affaires, ce n'est pas un salaire net.
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Encore un mythe du néoliberalisme sans cœur.
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Le mythe du "trou de la secu" revient.
C'est tellement moche.
Depuis 1945 on doit se battre pour protéger cette nécessité sociale, qui rembourse au passage les errements du néolibéralisme.
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Les musicien.nes qui chantent en langues régionales plutôt qu'en anglais c'est super.
Une remise en question de la phrase "ça sonne mieux en anglais" aurait été à sa place, et une rapide analyse de l'impérialisme culturel et commercial anglo-USA et de la vacuité de sa domination en musique aussi.
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Pour continuer sur le sujet, je ne l'ai pas lu mais le titre est évocateur.
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Privilégié.es
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En partie oui, c'est juste, mais il ne faut surtout pas oublier que "la" culture subventionnée, en effet prise au piège, est loin de ne servir qu'une bourgeoisie et qu'elle est pratiquée par des acteurs très divers et pour beaucoup loin d'être des privilégiés.
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Cette culture est aussi, malgré sa perfusion, celle de beaucoup d'outrances sémantiques, symboliques et performatives salvatrices et des actions culturelles qui tentent de déjouer la sélection sociale. Mais il est très compliqué d'échapper à Bourdieu.
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Divertissement et révisionnisme historique, une vision de la culture bien dangereuse.
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Es-tu vraiment à Angoulême ?
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Tout à fait, je pense aussi que la sororité est une problématique complexe, d'où une partie de sa force aussi.
Elle est interessante une fois dépliée dans différents contextes.
Mais c'est évidemment difficile à prendre comme un outil politique.
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Encore une preuve que c'est une dangereuse erreur de repousser l'âge de la retraite.
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Une grosse absence de sororité chez cette préfète.
Mais pourquoi ?
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Ça peut aider dans les choix.
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Et pour cette triste femme, on peut reprendre la pensée de Pascal en remplaçant admiration par indignation.
" Qu'elle vanité que la peinture qui attire l'admiration par la ressemblance des choses dont on n'admire point les originaux"
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Et si on lisait de la philosophie plutôt, ça permettrait peut-être de changer les données sociologiques ?
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Certains cris sont des aveux de silence.
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Le jour où nous serons libéré.e.s du "bon sens" nous retrouverons peut être le chemin de l'intelligence, de l'analyse et de beaucoup d'autres choses, loin des visions mesquines et égoistes des droites réactionnaires.
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Pour définir l aveuglement des journalistes des années 1930 on disait que c'était un mélange d'indifférence, de lâcheté, d'autocensure et d'anticommunisme primaire.
On remplace communiste par LFI et c'est la même chose aujourd'hui.
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Les mêmes monstres ordinaires vomissent leur "on ne peut plus rien dire" viennent maintenant justifier l'injustifiable.
Et nous arrivons à l'heure où comme pour l'auteur des Feuillets d'Hypnos nous risquons d'avoir à dire :
"J'écris brièvement. Je ne puis guère m'absenter longtemps. "
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Les adages, sans doute plus encore quand ils sont modifiés, sont souvent les ennemis de la pensée.
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De la nuance, toujours plus de nuances, mais devant certaines évidences ça devient soit ridicule, soit dangereux de tordre les faits.
"Car nous voulons de la nuance encor
Pas de la couleur, rien que de la nuance !
Oh ! La nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !"
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De la nuance, toujours plus de nuances, mais devant certaines évidences ça devient soit ridicule, soit dangereux de tordre les faits.
"Car nous voulons de la nuance encor
Pas de la couleur, rien que de la nuance !
Oh ! La nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !"