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Fond de sac.
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Vas-y tu crées de belles et puissantes photos, ton énergie fait du bien.
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Pêcher dans les verveux,
turquoise,
aiguë-marine,
célestite,
lapis-lazuli,
calcédoine bleue,
azurite,
larimar,
amazonite…
sur une langue d'eau bleue et se réveiller dans un rêve.
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Quel beau texte !
Il cherchait la carte,
si délirante qu'il n'aurait
plus besoin d'une autre.
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Les fleurs adorent la merde.
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Parterre de broderies.
La jardinière, aux fleurs
d'ocre et de soleil peintes,
creusait une pente douce.
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En perles de rosée,
goutte à goutte, la nuit glisse vers...
l'île aux mille soleils.
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Bourgeons en lueurs,
l'enfance en Polaroïd,
entre #ombres et lumières.
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Coin coin !
Coin coin !
Coin coin !
Coin coin !
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Je voudrais m'enrouler, grimper, m'accrocher aux nuages, devenir une femme.
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En jupons pourprés,
sur l'océan de lumière,
ou nos rêves s'envolent
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J'ai regardé cette émission ou les invités sont interrompus, les questions posées sans connaissance du sujet.
Bref à éviter quand on veut connaître les projets des invités.
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Fragile paravent,
son amour opalescent,
que soulève le vent.
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Rien ne sert de lire si fort.
Elles nous traversent,
brumes vibratiles attendues,
musiques intérieures.
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Aux heures pourpres,
pars vers ton Odyssée,
cours dans l'argent du matin,
pétrit de mystère.
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La fille de la lune,
d'ivoires et d'ivresse rousses,
s'invite au clair de jour.
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Printemps sans #ombres
Cri au soleil
Et dansent les verts dans les arbres,
La douceur du ciel
Traversé de mille vols
entrelacée au bout des yeux,
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Je te fuis car je t'abore.
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Ici, en Provence, dans les collines le froid retarde tout. Nous aurons manger toutes les feuilles quand les fleurs viendront.
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Idem
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Je voulais dire intime.
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Je ne pense pas, c'est tellement personnel.
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J'ai enregistré ta photo, elle est si belle, apaisante et raconte tant de toi de ton voyage pacifique.
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Anima.
Bonheur d'être ce soir, d'être ces ombres fluides dérivantes, glissant vers le ventre de la nuit, ce monstre rassasiée, notre mère, immobiles, silencieuses, dansons sur ce fil d'abîme, cette beauté infinie, oppressante heureusement adoucie par un léger embruns.
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Vagabonde.
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Que restera-t-il ?
nos silences...ineffacables,
des pas dans la neige.
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J'y vois de l'intensité
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Merci, c'est très gentil et indulgent.
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Partir en balade.
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Vague à larmes.
Morsure de cristal, l'écume se jette vers la rive,
légère comme l'oiseau,
retourne aux abysses,
aux profondeurs immobiles,
plonge endormie,
flottante alors,
entourée de nos absentes
elles dansent bras tendus
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Marcher entre les grands séquoias, être le vent frissonnant des cîmes, s'éveiller, arroser de magie et de soins ce bébé tomate, le rassurer pour se rassurer lui raconter l'univers et ses constellations, les papillons de couleur.
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Ce musée est merveilleux.
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L'élégance est invisible, légère, du bout des doigts, nous caresse et ce frisson insaisissable est notre énergie du désespoir.
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S'étirant gracile,
la limace voyageait
à l'ombre du bonheur
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Les pétales au vent,
se mêlent aux nuages qui passent,
demain sera bien.
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dans d'infinies constellations, les vagabonds moissonnent et repartent, faisant rouler sous leurs pieds quelques les étoiles du chemin.
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Sur la robe de soie,
les rhododendrons se plient
aux caresses du vent.
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Kes émissaires quittèrent le palais en grosses limousines, la rue entendait les fous rires à l'intérieur.