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Des vers français, des manuscrits, des imprimés, de la musique au XVIe siècle. #CESR #BVH #IRHT
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C'est votre côté Ronsard : "Skyto, vois si mon camélia / Qui l'autre matin déploya / Sa robe de pourpre au Soleil / A point perdu cette Vêprée / Les plis de sa robe pourprée / Et son beau teint au tien pareil".
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N'est-ce pas ?
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Oh là, là, il faut savoir le dire : le train français, malgré ses défauts incontestables, c'est tout de même 1000 fois mieux que le train allemand (puisque, apparemment, notre mésaventure est loin d'être rare) ! Mais oui, cela en valait la peine, nous revenons ravis et avec plein de grain à moudre.
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Bref : on a pris le train à Berlin...
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Mais on roule vers Paris et on ne devrait avoir que 45 minutes de retard par rapport à ce qui était prévu. Au lieu de 3 si on était descendu à Mannheim - à condition que le train de Mannheim passe bien 1 jour et qu'il finisse par arriver à Paris...
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Le train est plein comme un œuf. Il y a les gens du train, les gens de Berlin qui n'ont pas obéi, des gens de Munich qui ont aussi eu leur train supprimé.
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Sil y a trop de monde on descendra à Strasbourg. On franchit Strasbourg.
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Certains descendent, on est plusieurs à jouer le tout pour le tout : s'il y a trop de monde, on descendra à Karlsruhe. On franchit Karlsruhe.
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Mais ds ce train, on nous dit qu'il nous faudra descendre à Mannheim, pour attendre 2h un autre train pour Paris. Pendant les 30 minutes du voyage jusqu'à Mannheim, on cause, on cogite. Obéira-t'on, n'obéira-t'on pas ?
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On nous largué a peu près ds la nature, charge pour nous de prendre un train régional pour changer de gare de Francfort et choper un autre train qui va à Paris.
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On s'installe comme on peut être en voiture. Sauf que vers 15h30 le chef de bord nous dit que, finalement, le train n'ira pas jusqu'à Darmstadt, qu'il sera terminus à Francfort. La suite du voyage n'est plus assurée autrement qu'en montant ds des trains pas prévus pour accueillir les gens de Berlin.
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Oui ! Repos et force d'âme pour ne pas refaire dans sa tête et tout à fait vainement ce qui est bouclé, rendu, passé. Maintenant, le programme : restaurer vos forces et préparer l'oral, en bulldozer. On y croit Coline !
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Bref : www.museumsportal-berlin.de/fr/musees/ge...
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Et donc Botticelli, c'est du "contenu pour adulte" : quel monde...
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Et du coup : pour tout le monde. Je vous envoie plein d'ondes positives, chère Coline.
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Oui Coline ! On ne refait pas le match, on se concentre à fond sur ce qui vient, on fait de son mieux et on avance comme ça jusqu'au bout. Les états d'âme c'est pour plus tard - et on n'est jamais bon juge de soi-même, sans compter qu'on ne sait pas ce qu'ont réussi à faire les autres. Allez forza !
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- j'imagine, sans doute, par peur de retomber dans les travers de la critique sainte-beuvienne. Mais bon, les dérives dans le ciel des essences pures ont aussi leurs (gros) travers.
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Si cela ne doit pas être l'alpha, et surtout l'oméga, de toute étude, j'ai quand même l'impression que c'en est presque toujours pour les textes que j'étudie une étape indépassable, quoique trop souvent évacuée
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- et de ce fait, de mieux comprendre le sens du poème en question, même si celui-ci ne se réduit évidemment pas à sa seule référentialité.
Plus j'avance, plus je me dis que seul ce travail de fourmi, peut-être suranné, peut-être austère, permet de construire sur du solide.
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... cadrant d'ailleurs mieux avec ce que le poète dit du défunt dans la pièce qu'il lui consacre (une trahison, sans doute une embuscade, un assassinat, dont on peut justement trouver trace dans les archives)
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Mais enfin cela permet au moins de ne pas envisager qu'un poète, en 1555 au plus tard, fasse le plus sérieusement du monde l'éloge funèbre d'un homme qui ne mourra qu'en 1588, par exemple, et de considérer alors d'autres pistes d'identification, ...
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Ah volontiers merci !
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Ah mais c'est passionnant, merci en retour ! Le sonnet caudé réveille les souvenirs d'un travail d'il y a quelques années, pour un article paru dans RHR, sur un "sonnet fantôme" (parmi les tout premiers, sans doute, justement). On n'a pas fini de chasser le sonnet ! clairesicard.hypotheses.org/2135
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Rien ne disparaît, tout se transforme ;-)
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De rien ! J'ai fait un rapide panorama de ceux que j'ai pour 54, au cas où : pas de saut de ligne. Je reprends le fil de mon cours. Bon courage pour votre préparation !
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J'en ai un publié en 1555 avec saut de ligne mais je ne sais pas si c'est le premier : gallica.bnf.fr/ark:/12148/b... Mes étudiants sont en DST pour encore un gros quart d'heure, je cherche si j'en trouve avant.
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Pr 55, il y a les Continuations qui marquent 4 strophes par alinéa : gallica.bnf.fr/ark:/12148/b... Mais c'est déjà le cas en 53 ds les Amours. S'il s'agit plutôt de sauts de ligne, je n'ai pas d'ex. en tête, mais je peux voir si j'en trouve tt à l'heure, après mes cours (si ce n'est pas trop tard)
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Alors manifestement la question porte plutôt sur la disposition strophique. Le premier sonnet connu je ne sais pas bien quel il est, mais enfin la forme arrive en France à la fin des années 1530.