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Toujours en feu, jamais trop sage,
Entre les draps ou dans les nuages.
Dans un pogo, il crie, il danse,
Rock, fumée, et décadence.
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Pareil ... sur la fesse gauche !
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Tkt les pulsions font vivre !😉
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Ô bouche divine, temple des plaisirs,
Où le désir s’élance et vient s’épanouir,
Tes lèvres, douces comme l’aube d’été,
Offrent un chant d’amour, tendre et secreté.
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Je ne fais
Que frôler l’écume,
Mais ton abysse
M’aspire en silence.
Et si tu brûles
En cendres salées,
Je me noie,
Lentement,
Dans ton oubli.
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T’as fait sauter la ceinture et battre le cœur, tout ça en un regard !
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Oui je suis troublé, y'en a un vertical et l'autre horizontal !
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Les corps fondus, perdus, dans la moiteur du son,
Ses hanches me délient au bord de l’abandon,
Un goût de chair et d’extase, l’acide en filigrane,
On descend lentement, mais enlacés, profanes.
Bonne soirée
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Tu sais ce qu'on dit " l'important ce n'est pas la chute..." Je suis sur que tu sais atterrir en douceur
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Ça aide aussi mais attention à la descente !
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Force et persévérance ! 😉
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Je gère...
L'opprobre
Et c'est déjà pas mal. ! 😂
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Je suis la soif,
Celle qui ne se calme qu’en te buvant
Ta souillure m'appelle
Et j’y lis la beauté que d'autres fuie
Tu n’es pas à briser
Tu es à vénérer dans l’outrage,
À goûter dans le tumulte
À prendre avec violence et tendresse mêlées.
Tu n’es pas belle que souillée
Tu es sublime dans l'abandon
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La pluie, domptée comme une amante soumise, s'infiltre entre ses cuisses ouvertes.
Chaque goutte, une caresse lente, mouille sa peau jusqu'à ce qu'elle frissonne de désir.
Elle s'offre aux éclats liquides, les jambes offertes à l'averse comme à un amant vorace
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So hoooot !😍
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Ton regard me dévore pret a m’avilir
Ton corp m appelle sans rien retenir
J te veux nue brûlante d’envie
Que ma main texplore que tu jouisse
Deviens ma maitresse ou ma victime
Je veux grave mes rale au fond de ton intime
Faisdemoi ton vice ta douce damnation
Que mon foutre soit ton unique obsession
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Moi, je l'aime bien la lingerie !
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I never saw a cat playing bass! Very good player !
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Merci tu es une bonne muse je dois dire ! J'avais jamais test le pornfood 😂
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Salut, comment je kifferai être ton voisin !
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Omg really pretty
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Charcuterie/poème lol
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Dans l’ombre fraîche d’une chambre froide
Elle s’étale, coquine, en robe de graisse,
Saucisse courbée, poitrine qui rôde
Chaque tranche invite à l’ivresse
Son jambon cru, doux comme peau nue,
Glisse sur ma langue en lente caresse
Et le saucisson, ferme, bien tendu,
Se laisse mordiller avec tendresse
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Les mots se mêlent, se frottent, se prennent,
Orgie de lettres, syntaxe obscène,
Verbes dressés, rimes ouvertes,
Points d’exclamation en transe experte.
Mais il manque un mot, une voix, un corps,
Sans toi, l’extase a moins de mord.
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Effectivement, c'est du bon c'est rentré dans ma wishlist discogs !
Merci
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Chanson excellente ! Merci pour la découverte
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"Un mur est une très grosse arme. C'est l'une des pires choses avec lesquelles vous pouvez frapper quelqu'un."
Banksy
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Je paye cher que tu ne sois que sur mon tel,
Si je te rencontrais, je t’arracherais au virtuel.
Tes lèvres contre les miennes, mordantes,
Ta main glissante, impatiente, brûlante.
Je te plaquerais contre le mur sans attendre,
Nos souffles courts, nos envies à prendre.
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Lol,
Facile,
Tu es un fantasme, une muse.
Continue tes photos et tes lyrics provocantes,
Et viens, avide, sans excuse.
Tes ongles me marquent, tes hanches me dictent,
Nos corps s’empoignent, se claquent, s’usent.
Tu jouis, rauque, ta voix m’invite,
Encore, plus fort, qu’on s’accuse.
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Tes mots résonnent, troublants, sensuel
Dans mon esprit naît un goût criminel
Si tes pensées nourrisse le vice
Pourquoi ne pas en faire un délice
Relis-toi, tremble, mais ne regrette rien
Ces phrases m’invitent à brise les liens
Si l’idée te hante, viens me voir,
Faisons de ce fantasme une histoire
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Tes cuisses s’écartent, offertes, brûlantes,
Ma langue explore, avide, enivrante.
Je te dévore, soupirs en cascade,
Ton corps se cambre, supplie, s’évade.
Mes doigts te pénètrent, lent supplice,
Ta voix se brise sous l’artifice.
Péchés murmurés dans l’ombre sacrée,
Le bois craque, l’autel profané
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Merci
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Mes mots te pénètre lentement,
Glissent vicieusement
Chaque syllabe suce et lèche,
Ouvre tes jambes, rend soumise ou farouche
Les phrases claquent, ordre ou prière
Jouissent sur ta peau en rivière je salive, langue de vice
Mes mots te baise, tu gémis, complice
Diction perverse, jouissance en lettres
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Je viens,
Dans un spasme brulant,
T’offrir mon essence, mon torrent.
Je viens,
Si tu plonges, si tu chavires,
Je t’inonde jusqu’au dernier soupir.
Je viens,
Sur ta langue, entre tes seins,
T’arracher gémissements et lendemain.
Je viens,
Et si tu jouis, si tu cries,
Je t’arroserai toute la nuit.
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Merci,
J'aligne les mots sans trop réfléchir
je me sens puéril mais si ça te fait plaisir
tu me fais rougir !
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Oui t'as raison je suis taquet ce matin,
Ça me rajeunit, j'ai l'impression de perdre 20 ans !
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A force de te lire, je vais m’égarer,
Tes mots, tes images, me font chavirer.
Un frisson reste après ton passage,
Toute la journée, j’en garde l’orage.
Mais le soir je te fuis,
Histoire de garder un peu de repos pour mes nuits.
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Tes photos troublent, attisent, charment,
Un simple regard et tout désarme.
Le métal glacé contre ta peau,
Un jeu d’images, un doux écho.
Les outils, je les connais bien,
Les miens répondent sous mes mains.
Certains diront que c’est du labeur,
Moi, j’y vois bien plus d’ardeur."
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Normalement tu dois mettre un joint caoutchouc ( noire ) au fond contre le filtre ( contre la grille , photo de droite) il s'écrasera lorsque tu visseras ton raccord. Pas besoin de serrer fort.
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Oh le saint windows 98 !
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A l'époque en cd, aujourd'hui en vinyle !