Profile avatar
phd2.bsky.social
Management, innovation, sûreté, intelligence économique, forensique. Docteur en sciences de gestion.
128 posts 8 followers 14 following
Active Commenter
comment in response to post
à l'exercice de l'action publique." Si les "abus" ne sont pas de même nature que les infanticides, le secret était une condition de leur perpétuation.
comment in response to post
Il vaudrait mieux (à confirmer par un juriste) s'inspirer de l'affaire Cottrez (2010) : la prescription des infanticides, a priori dépassée, a démarré au jour de la découverte des faits car le "secret qui a subsisté jusqu'à la découverte des corps des victimes a constitué un obstacle insurmontable
comment in response to post
de l’institution.
comment in response to post
Pau, le 25 septembre 2006) révélée, lundi 12 mai, par le quotidien Sud Ouest. Mis en examen pour viol en 1998, le prêtre s’était suicidé à Rome en 2000. Son décès avait entraîné un non-lieu au pénal, mais le plaignant et son avocat avaient poursuivi la procédure au civil et obtenu la condamnation
comment in response to post
Le monde du 14/05 : L’établissement catholique Notre-Dame de Bétharram avait été déclaré, en 2006, « civilement responsable » de viol et d’agressions sexuelles commises par son ancien directeur, le père Pierre Silviet-Carricart, selon une décision de justice (un arrêt rendu par la cour d’appel de
comment in response to post
Leur a appris. La transcription vocale est perfectible.
comment in response to post
Je ne sais pas qui l'aura appris à rédiger des communiqués, mais les deux me semblent ponce-pilatesques.
comment in response to post
Ce n'est pas parce que le haut clergé ne fait rien que les faits sont condamnés à être prescrits. Tout acte d'enquête remet la prescription à zéro. L'immobilisme du haut clergé ne change donc rien. Pour les faits pénalement prescrits, une action au civil peut-être.
comment in response to post
En première approche, cela semble difficile à soutenir car pour ce type de crime, "il faut prouver qu’il s’agit de crimes commis en exécution d’une politique étatique criminelle." (wikipédia). Sauf si les jurisprudences suisse et belge s'étendent à la France...
comment in response to post
On peut aussi se souvenir de l'affaire Baudis où un gendarme tenait mordicus à ses accusations qui se sont avérées...fausses. Ce qui ne présage en rien de l'affaire en cours, mais la prudence et la réflexion semblent portées disparues ces derniers temps.
comment in response to post
Bonne question. Si elles ont lieu, on saura alors que la commission cherche vraiment à savoir ce qui s'est passé dans les Pyrénées.
comment in response to post
Et qui est finalement autorisée.
comment in response to post
Fou, mais habile avec son histoire de projection interdite par la présidente.
comment in response to post
Ah, la culture de l'excuse ! J'ai l'air de donner des leçons comme ça, mais j'en ai un aussi qui est bien molasson :
comment in response to post
Un rhododendron molasson ?
comment in response to post
Importante est celle de l'autorité du code : qui l'a écrit, quels sont ses principes, ces derniers sont-ils admis ou encore débattus ? Pour terminer, qui respecte ce code dans l'organisation ? Si le chef s'assied dessus, il n'est pas étonnant que personne ne le respecte.
comment in response to post
Je pense que l'expérience a plusieurs biais. Deux questions concernent le respect de la loi et non l'éthique : le dépassement du champ électromagnétique maximum légal et la discrimination. Si visionner une vidéo de 9 minutes suffisait à changer la mentalité, ça se saurait. Enfin, la question la plus
comment in response to post
"De nos jours [...] c'est l'ignorance (de ce que nous pourrions savoir, mieux, de ce que nous ne pouvons aucunement ne pas savoir) qui constitue la faute elle-même. Nous, fils d'Eichmann, Günther Anders, p 134.
comment in response to post
Il serait bon de faire le retex de la formation des Saoudiens par Saint-Cyr. Projet lancé il y a un certain temps, mais dont je n'ai jamais eu connaissance des résultats.
comment in response to post
Non sans vous gratifier de belles remontrances ! 😱
comment in response to post
Vous enlevez au moins une étoile à JR. Crime de lèse-majesté ! 😇
comment in response to post
Au vu de la date présumée de l'entretien, peu de doutes sur l'identité. JMS explique que lorsqu'il lui arrive de mentir, il regarde le bout de ses chaussures. Ce jour-là, il vit une autre façon de faire.
comment in response to post
Se rendent-ils compte qu'ils permettent le crime parfait, introuvable pour cause de mort naturelle ?
comment in response to post
Conférence intéressante d'ailleurs.
comment in response to post
Non mentionné dans la conférence. Peut-être que JMS a observé la même prudence que pour les faits relatifs à l'abbé Pierre.
comment in response to post
Oui, celle d'avant hier où JMS a pris la parole de 17 à 19h.
comment in response to post
Mise en œuvre du droit à ne pas s'auto incriminer. La justice étatique ADU bon parfois : www.dalloz-actualite.fr/flash/garde-...
comment in response to post
Désolé du retard, j'étais hors connexion. La conférence n'est pas encore disponible en Replay, mais le site où elle le sera devrait être : www.icp.fr/a-propos-de-...
comment in response to post
Cette conférence a eu lieu dans le cadre du DU abus et bientraitance, mais je ne sais pas si elle a été enregistrée. Pour cela il faudrait demander à la catho de Paris qui organise ce DU.
comment in response to post
Si j'ai bien compris la conférence de Jean-Marc Sauvé également diffusée avant-hier en visio, il a rencontré à l'époque le supérieur des mep qui lui a dit qu'il n'était qu'une boîte aux lettres, et n'avait connaissance d'aucun problème. J-M Sauvé a déclaré s'être aperçu du mensonge.
comment in response to post
Pourquoi alors appeler « choix de société » ce qui est finalement imposé à la dite société ?
comment in response to post
D'où la nécessité d'une réflexion juridique sur ces clauses de confidentialité. Car il est compréhensible qu'une victime n'aura pas le courage ou la volonté de poursuivre la procédure jusqu'à son terme.
comment in response to post
Certes, mais il ne faut pas oublier la différence de système judiciaire. Aux États-Unis on peut transiger en matière pénale, d'où les NDA. Ce n'est pas le cas en France.
comment in response to post
Ce qui est étonnant, c'est que beaucoup d'organisations ayant commis des abus ont recours à cette clause de confidentialité. Comme s'ils s'étaient donné le mot...
comment in response to post
D'où l'intérêt de faire un texte complexe, comme cela les tribunaux ne pourront pas trancher en cas de litige. Si c'est la faute de tout le monde, alors ce n'est la faute de personne.
comment in response to post
Après consultation rapide d'un juriste, en aucun cas une clause de confidentialité ne peut couvrir un abus quelconque, un crime ou un délit.
comment in response to post
Quant à la clause de confidentialité, outre la question de sa légalité qui doit être tranchée par un juriste compétent, il faut se poser deux questions avant de la signer : 1 à qui profite-t-elle ? Si elle ne profite qu'à l'autre partie, il faut la refuser. 2 que se passe-t-il en cas de rupture ?
comment in response to post
Pourtant, la médiation n'est-elle pas ce que la conférence des évêques souhaite généraliser suite à sa dernière assemblée plénière ?
comment in response to post
Vraisemblablement de la même manière qu'un consacré abuseur : la mission puis le repos du missionnaire...
comment in response to post
D'après Zénit, il participera au conclave.
comment in response to post
Sans oublier que cet homme fort est parvenu au sommet de la hiérarchie, tout en étant totalement atypique...
comment in response to post
Sur un malentendu...
comment in response to post
Correct, j'avais mal lu le tableau de wikipédia. Mais il pourrait être élu... 🤔
comment in response to post
Est-ce que les cardinaux électeurs français empêtrés dans les abus, l'un par action l'autre par omission, iront au conclave ou y renonceront-ils comme Keith O'Brien en son temps ?
comment in response to post
Peut-être serait-il temps maintenant que chaque diocèse élabore un plan de prévention et de répression des abus de toutes sortes commis par les consacrés qui y sont incardinés.
comment in response to post
Entièrement d'accord, mais les deux doivent être menés de concert. Occulter l'un revient à décider de ne répondre qu'imparfaitement.
comment in response to post
Occulter tout travail sur le rôle de l'organisation dans les abus revient à occulter la jurisprudence de la Cour de cassation dans l'affaire France Télécom, où le "harcèlement moral institutionnel" a été reconnu. Ce qui rend caduque la note confidentielle de l'évêque du Mans.
comment in response to post
Conclusion : un krach boursier entraîne une épidémie de rougeole...
comment in response to post
Comment peut-on encore, après toutes ces révélations, faire l'impasse sur l'étude des organisations défaillantes ?